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WIIM DUISENBERG:

– Bientôt, ce n'est plus un poulet qui traversera la route, mais 0,176986453 Euro-Poulets.

UN COMMERCIAL D'IBM:

– Nous proposons de construire une infrastructure technique permettant aux poulets de traverser les routes. Un cluster de 5 serveurs massivement parallèles à tolérance de panne, reliés par un réseau FDDI, avec 10 To (Téras octets) de disques RAID devrait suffire. Côté logiciel, il faudra approvisionner une centaine de licences DB2, Netview et Visual Age, car ces produits sont en totale adéquation aux besoins de traversée des routes, moyennant une prestation d'adaptation mineure de 25 années hommes (tarif: 1 200 euros HT/jour).

BILL CLINTON:

– JE JURE sur la Constitution qu'il ne s'est rien passé entre ce poulet et moi.

DAVID HIRSCHMANN:

– Parce qu'aucun effort ne fut fait de son côté pour lui proposer un autre rendez-vous.

NELSON MONTFORT:

– J'ai à côôôté de moi l'extraordinaire poulet qui a réussi le fooormidable exploit de traverser cette suuuuuperbe route: «Why did you cross the road?»

– Cot! cot!"

– Eh bien, il dit qu'il est extrêmement fier d'avoir réussi ce challenge, ce défi, cet exploit. C'était une traversée très dure, mais il s'est accroché, etc.

MULDER:

– Le poulet est contrôlé à distance par les extra-terrestres.

Maladie d'Alzheimer/Parkinson

Est-il préfèrable d'avoir la maladie d'Alzheimer ou la maladie de Parkinson?

– Alzheimer… Il vaut mieux oublier de payer son verre que de le renverser!

***

«Il semblerait que le préservatif soit un très bon emblème politique. Il jugule l'inflation, il permet quand même l'expansion, il limite la surproduction et il offre une impression de sécurité satisfaisante.» (Coluche)

Le resquilleur écossais

Dans un train en Écosse, le contrôleur est en train de vérifier les billets des personnes assises dans les wagons en première classe.

Il en est presque au bout du wagon, lorsqu'il tombe sur un resquilleur:

– Dites-moi, monsieur, votre billet est un billet de seconde classe, avec tarif spécial pour militaires… Or vous n'êtes pas militaire et vous êtes dans un wagon de première: il va vous falloir régler deux amendes ainsi que la différence avec le billet au tarif normal!

Mais l'Écossais resquilleur ne l'entend pas de cette oreille: il hurle, se débat, insulte le contrôleur… À tel point que le contrôleur sort de ses gonds, empoigne la valise du gars et la jette par la fenêtre du train!

Alors l'Écossais resquilleur lui dit:

– Mais vous êtes fou?! Vous voulez que je paie une amende et maintenant vous jetez mon fils par la fenêtre!

Restriction

C'est l'histoire d'une fille qui voulait vraiment convaincre son mari d'arrêter de fumer. Elle se confie à une copine de bureau:

– J'ai conclu un marché avec lui: il n'a le droit de fumer une cigarette qu'après qu'on ait fait l'amour.

Une semaine plus tard, la copine lui demande comment vont les affaires et si le mari fume moins.

– Bah, pas trop mal, répond l'épouse en levant son derrière de l'oreiller qu'elle avait placé sur son siège et en se traînant jusqu'à la photocopieuse, j'ai réussi à le faire descendre à un paquet par nuit.

Retraité du Vaucluse

C’est l’histoire d’un retraité du Vaucluse qui en avait marre que les gosses du voisinage viennent toujours dans son jardin la nuit pour lui chouraver tous ses melons.

Après avoir longuement réfléchi au moyen de les faire cesser ce petit jeu, il eut le déclic: il bricola une pancarte et la planta au beau milieu de son potager.

Le soir, quand les gosses du coin vinrent commettre leurs méfaits comme tous les autres soirs, ils purent lire ce que le vieux avait écrit: «Attention: Un des melons de ce jardin contient du Cyanure». En voyant ça, les gosses quittent les lieux mais reviennent quelques instants plus tard avec une autre pancarte qu’ils plantent juste à côté de celle du retraité.

Le lendemain matin, le retraité va voir ses melons et constate avec joie qu’aucun ne manque… Mais il voit la pancarte que les gosses ont planté à côté de la sienne et il lit: «Maintenant, il y en a deux».

Réunion de l'équipe soignante

C'est la réunion mensuelle de l'équipe soignante de l'hôpital. À l'ordre du jour, l'accusation d'une infirmière envers un médecin: Celui-ci lui aurait parlé de façon vulgaire et insultante.

Le directeur dit au Dr concerné:

– Ce genre de comportement ne peut avoir cours dans mon hôpital. Avez-vous quelque chose à dire pour votre défense?

Le médecin répond qu'il regrette ce qui s'est passé, mais il a des circonstances atténuantes:

– Laissez-moi vous expliquer dans quelles circonstances tout ceci s'est passé.

– Le matin, mon réveil n'a pas sonné. Quand j'ai vu l'heure qu'il était, j'ai sauté du lit, attrapé mon pied dans le tapis, et je suis tombé la tête la première sur la table de nuit en cassant du même coup la lampe de chevet.

– Ensuite, pendant que je me rasais, la sonnette de la porte d'entrée a retenti, du coup, je me suis coupé. C'était un jeune homme qui vendait des encyclopédies. Et je n'ai pas pu le mettre dehors avant d'avoir acheté les volumes A à G.

– Quand j'ai voulu reprendre mon petit déjeuner, mon café était froid et mes toasts brûlés.

– En allant au garage, j'ai glissé sur une plaque de glace et je me suis déchiré le pantalon et éraflé le genou.

– Quand j'ai voulu démarrer la voiture, la batterie était à plat. Ça a pris 45 minutes au réparateur (et 100 euros dans mon porte monnaie) pour me dépanner. J'aurai du prendre un taxi de toute manière, car en arrivant sur le parking de l'hôpital, le chasse-neige est rentré dans ma voiture.

Le médecin prend alors une grande respiration et reprend:

– Finalement, j'arrive dans mon bureau et je m'assied dans mon fauteuil. À ce moment-là, madame Waleski, l'infirmière, arrive et dit: «Docteur, on vient de livrer 72 thermomètres, où voulez-vous que je les mette?»

Scoop sur les ATTENTATS!

Des révélations émises par les services de renseignements français nous apprennent que les attentats perpétrés à New York et à Washington il y a de cela quelques semaines, auraient du être commis au préalable dans la capitale francaise, Paris.

Deux terroristes venus du Moyen-Orient sont arrivés à Paris avec la ferme intention d'accomplir le «châtiment d'Alllah contre tous ces infidèles francais», mais n’ont pu arriver à leur fin.