Les deux éditeurs qui se sont engagés au départ sur mon projet d’écrire sur Cicéron étaient Sue Freestone à Londres, et David Rosenthal à New York. Tel l’Empire romain, ils sont tous les deux passés à autre chose, mais je voudrais les remercier pour leur enthousiasme initial et leur amitié continuelle. Leurs successeurs, Jocasta Hamilton et Sonny Mehta, se sont glissés dans la brèche et ont su mener avec habileté ce projet à son terme. Merci aussi à Gail Rebuck et à Susan Sandon pour avoir vaillamment tenu le coup. À ma grande tristesse ainsi qu’à celle de tous ses auteurs, mon agent, Pat Kavanagh, n’a pas pu voir achevée l’œuvre qu’elle a si brillamment représentée ; j’espère qu’elle l’aurait appréciée. Je remercie mes autres agents, Michael Carlisle d’Inkwell Management, à New York, ainsi que Nicki Kennedy et Sam Edenborough de ILA, à Londres. L’estimable Wolfgang Müller, mon traducteur allemand, m’a servi une fois encore de correcteur officieux. Joy Terekiev et Cristiana Moroni de Mondatori, en Italie, ont partagé littérairement le voyage à Tusculum et à Formies.
Enfin — enfin — je voudrais remercier, comme toujours, ma femme, Gill, et aussi nos enfants, Holly, Charlie, Matilda et Sam, qui ont passé la moitié de leur vie dans l’ombre de Cicéron. Malgré cela, ou peut-être grâce à cela, Holly a entamé des études en lettres classiques et connaît à présent bien mieux l’Antiquité que son vieux père, aussi ce livre lui est-il dédié.