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Je veux aussi remercier les enseignants qui nous ont autant appris grâce à leur personnalité qu’à travers leurs cours. Je ne sais pas si vous faites le plus beau métier du monde, mais je suis convaincu que vous faites l’un des plus difficiles… Je veux particulièrement saluer Madame Lesec, Monsieur Carmona, Madame Carmona, et Jean-Pierre Chrétien, remarquable enseignant de mathématiques et aujourd’hui ami (comme quoi on peut triompher de ses peurs primaires !). Ceux qui font leur métier comme vous sont une chance inestimable sur la route des nouveaux locataires de ce monde.

Merci à Philippe Duval, chef d’établissement, de m’avoir accueilli trente ans plus tard dans mon lycée — Jacques Prévert à Taverny — dont seuls le carrelage du sol et les états d’âme des élèves n’ont pas changé. C’était la première fois que je passais autant de temps dans le bureau du proviseur et que ça se déroulait aussi bien pour moi ! Un immense merci à Dominique Bourdin, mon prof d’anglais, qui trente ans plus tard fut un remarquable guide là où il nous enseignait sa matière et nous a fait découvrir le théâtre avec une passion communicative.

Merci à toi, Samantha Clément, pour m’avoir parlé d’Inu et Alto, mais surtout pour ta fidélité et ta touchante énergie.

Merci à toi, Marion Lehuraux, mon canari au fond de la mine. Si ça pète, ce sera ta faute.

Merci à mes proches, Annie et Bernard Lecœur, Stéphane et Martine Busson, Sylvie Descombes (à côté de qui j’étais face à Jean-Pierre en maths), Michèle Fontaine (complice depuis la maternelle), Brigitte Gaguèche (méfie-toi des hommes à pattes de chèvre…), Éric Grimois (les gens veulent voir ta photo, tu sais, celle qui guérit par la joie… je vais finir par céder !), Cathy et Christophe Laglbauer, Hélène et Sam Lanjri, Philippe et Gaëlle Leprince, Soizic et Stéphane Motillon, Thomas (10,36 au bac, t’aurais vu ta tête…) et Katia Thuilot.

À toi Chloé, ma toute première lectrice, ne cache jamais ton cœur. À toi Guillaume, mon plus honnête regard. Continuez à m’apprendre ce que vous découvrez et que je n’avais jamais vu.

À toi, Pascale, éperdument. Bravo pour ton bac. Encore pardon d’avoir eu 17 alors que tu n’as eu que 13 en interro, et surtout merci de m’avoir laissé manger ta viande à la cantine. Merci aussi de m’avoir laissé devenir ce que je ne serais pas sans toi.

Merci à mon éditrice, Céline Thoulouze. Faire ce chemin avec toi est une chance. Merci aux équipes d’Univers Poche pour la belle aventure que nous partageons, et particulièrement à Marie-Christine Conchon, François Laurent, Thierry Diaz, Deborah Druba, Valérie Miguel-Kraak, Véronique Noyau-Ferrandez, Sabrina Ananna, Julie Buffaud, Bénédicte Gimenez, Céline Gonzalez, Marine Chiab, Estelle Revelant, Alexandra Wagnon, France Thibault et toutes les équipes qui sont tous les jours sur le terrain.

Je veux aussi remercier les libraires de leur appui, de leur échange et de leur confiance, particulièrement Gérard Collard et son équipe, Valérie Caffier, Danièle Lanoë, Brigitte et Jean-Claude Ternisien, et Julien Tenat.

Je suis heureux de finir par le plus important. Nous avons tous l’honneur de travailler pour toi, lecteur, sans qui nous n’aurions, moi le premier, aucune raison d’exister. Après Demain j’arrête !, beaucoup d’entre vous avez eu la gentillesse de me dire que vous étiez convaincus que c’était une femme qui avait écrit. Après Complètement cramé !, vous avez eu la bonté de me dire que ce livre n’avait pu être imaginé que par un vieux sage. Je ne suis ni l’un ni l’autre. J’espère qu’à la longue, vous vous direz simplement que je ne suis qu’un homme comme beaucoup, mais que j’aime vous regarder, vous comprendre et vous raconter. Vos messages, vos mots, vos regards sont ma plus belle raison d’avancer. Une fois encore, ma vie, comme ce livre, est entre vos mains, et je m’y sens bien. J’ai l’immense chance d’aimer ceux pour qui j’écris, et je sais que ce n’est pas toujours le cas dans ce métier. J’ai l’étrange sentiment de vous connaître lorsque je vous rencontre. Les cyniques ne peuvent pas saisir cette alchimie. Ce n’est pas grave. Je préfère être malheureux comme moi qu’heureux comme eux. Avec vous, le monde est plus humain, et il faut bien ça pour se lever à 3 heures du mat’ !

Je suis déjà pressé d’avoir à nouveau rendez-vous avec vous.

Prenez soin de vous,

Chaleureusement,

P.S. : Vous devriez écouter ou réécouter « You’re Nobody till Somebody Loves You »…

www.gilles-legardinier.com

Sur l’auteur

Gilles Legardinier s’est toujours attaché à faire naître des émotions qui se partagent.Après avoir travaillé sur les plateaux de cinéma américains et anglais, notamment comme pyrotechnicien, il a réalisé des films publicitaires, des bandes-annonces et des documentaires sur plusieurs blockbusters.

Il se consacre aujourd’hui à la communication pour le cinéma pour de grands studios et aux scénarios, ainsi qu’à l’écriture de ses romans. Alternant des genres très variés avec un même talent, il s’est entre autres illustré dans le thriller avec L’Exil des Anges (Prix SNCF du polar 2010) et Nous étions les hommes (2011), et plus récemment dans la comédie, qui lui a valu un succès international avec Demain j’arrête ! (2011) et Complètement cramé ! (2012).