«Tu ne comprends pas, maman! Il est athée!»
«Je ne vois pas où est le problème. Ça ne t’empêche pas d’avoir tes propres croyances.»
«Mais… c’est absurde! Il ne croit même pas que le ciel et l’enfer existent!» La mère regarde sa fille avec un sourire en coin.
«Ne t’en fais pas. Pour le ciel, il verra lorsqu’il sera mort et pour l’enfer, nous allons nous charger toutes les deux de lui prouver qu’il existe!»
Deux femmes agées, toutes deux veuves, passent ensemble un mois de vacances sur la côte d’Azur. Tous les après-midi, elles passent de longues heures sur le bord de la piscine de l’hotel pour se bronzer. En realité, elles cherchent à faire des rencontres… Depuis cinq ou six jours, elles ont notamment repéré un client de l’établissement qui, comme elles, consacre tous ses après-midi à se delasser près de la piscine. L’homme, apparemment seul, n’est plus de la toute première jeunesse mais il a fière allure. Un jour, l’une des deux femmes se décide à aborder le personnage et s’approchant de sa table, près de la piscine, lui demande: «Excusez-moi de vous déranger, mais nous nous demandions, mon amie et moi, pourquoi vous avez l’air si déprimé tous les jours. Vous semblez si solitaire?»
«Madame, c’est difficile de se réadapter à la liberté», répond l’homme. «Je viens de passer vingt ans de ma vie en prison…»
«Sans blague, et pourquoi?» demande la dame.
«J’ai été accusé d’avoir etranglé ma troisième femme.»
«Ah bon? Et votre seconde épouse?» demande la dame par curiosité.
«On m’a condamné pour lui avoir tiré huit coups de fusil dans le cœur.»
«Dites donc… Et, si je peux me permettre, qu’est-il arrivé à votre première femme?»
«Elle est accidentellement tombé d’un immeuble de trente étages…»
La dame se retourne alors en direction de son amie restée de l’autre côté de la piscine, et avec un grand sourire, elle lui crie: «Marie, Marie, il est célibataire!»
Pendant la répétition du mariage, le futur marié prend monsieur le curé à part, et lui dit à l’oreille:
– Ecoutez monsieur le curé, voici un billet de 500 francs. En échange, je voudrais que vous modifiez un peu le schéma classique de la cérémonie…
En particulier, je voudrais que quand vous vous adresserez à moi, vous laissiez tomber la partie où je dois promettre «d’aimer, honorer et respecter mon épouse, renoncer aux autres femmes et lui être fidèle comme jamais».
Le curé prend le billet sans mot dire, et le futur marié s’en va satisfait et confiant.
Le jour du mariage, le moment fatidique de la promesse approche.
Le curé se tourne vers le marié et lui dit en le regardant droit dans les yeux:
– Promets-tu de te prosterner devant elle, d’obéir à chacun de ses ordres, de lui apporter le petit déjeuner au lit tous les matins, et de jurer devant Dieu et ta femme exceptionnelle que jamais au grand jamais, tu ne regarderas une autre femme?
Le jeune gars ravale sa salive[16], rougit, regarde autour de lui avec angoisse et répond d’une voix à peine perceptible[17]:
– Oui je le veux.
…Puis le jeune marié se penche vers le curé et lui siffle:
– Je pensais qu’on avait fait un marché!
Alors le curé lui met son billet de 500 dans la poche et murmure à son oreille:
– Elle m’a fait une meilleure offre.
Un groupe de jeunes femmes arrive sur le lieu de leurs vacances…
Elles se mettent à la recherche d’un hôtel et très vite en trouvent un à cinq étages avec un panneau qui indique «Exclusivement pour les femmes».
Elles décident d’entrer.
Le gars de la réception leur fait la visite étage par étage…
Au premier étage, un panneau indique «Ici les hommes font très mal l’amour, mais sont très agréables, gentils et sensibles».
Les filles se tordent de rire[18] et sans s’attarder montent au deuxième.
Le panneau du deuxième étage indique «Ici les hommes font merveilleusement bien l’amour, mais généralement traitent très durement les femmes».
Cela ne leur parait pas acceptable, elles continuent à monter…
Troisième étage, le panneau indique «Ici tous les hommes sont d’excellents amants et ils sont sensibles aux désirs et ils ont besoin de femmes».
Cela parait idéal mais il reste encore deux étages…
Elles continuent l’ascension…
Au quatrième étage, le panneau est surprenant «Ici les hommes ont des corps d’Appolon, sont sensibles et attentifs à leur compagne, experts en amour, tous célibataires, blindés d’argent et prêts à se marier».
Les voilà ravies, mais décidément intriguées, elles poursuivent jusqu’au cinquième…
Quand elles arrivent au cinquième, le panneau indique «Ici il n’y a pas d’hommes! Cet étage n’a été construit que pour démontrer qu’il est impossible de satisfaire une femme, elle visera toujours plus haut».
Le travail
Un fou écrit une lettre.
Le directeur lui demande:
«A qui écrivez-vous?
– A moi.
– Et qu’est-ce que vous avez mis?»
Le fou lui répond: «Je ne sais pas, monsieur le directeur: je ne l’ai pas encore reçue!»
– Moi, lance un homme accoudé au comptoir d’un bistrot[19], j’ai tous mes ennuis derrière moi.
– Vous voulez dire que vous n’avez plus aucun ennui?
– Pas du tout! Mais je suis conducteur d’un bus scolaire.
Un P.D.G.[20] reçoit dans son bureau un de ses employés.
– Jeune homme, vous êtes entré dans cette société il y a un an à peine comme coursier. Deux mois plus tard vous étiez aide-magasinier, puis chef du service des stocks. Et aujourd’hui, vous voici directeur commercial pour tout le groupe. Êtes-vous content de cette promotion?
Le jeune homme répond:
– Oh, oui, merci Papa!
Un médiocre écrivain raconte:
– Désormais, j’ai la satisfaction de savoir que ce que j’écris est lu avec infiniment d’attention.
– Vous faites toujours des romans?
– Non. Je rédige les menus d’un grand restaurant.
Deux ouvriers prennent leur pause de midi, le premier dit:
– Tu connais Victor Hugo?
– Non.
– T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir!
Le lendemain, toujours le même:
– Tu connais Albert Einstein?
– Non.
– T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir!
Le surlendemain, ça recommence:
– Tu connais Karl Marx?
– Non.
– T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir!
Alors l’autre tout énervé dit:
– Et toi, tu connais Jean Dupont?
– Non???
– T’as tort, c’est celui qui baise ta femme pendant que tu suis les cours du soir!
Le président d’un tribunal, après avoir fait décliner à un prévenu ses nom, prénom, âge et profession, ajoute:
– Vous avez donné un coup de pied dans le ventre de votre belle-mère, n’est-ce pas?
– Ce n’est pas de ma faute, monsieur le Président: elle s’est retournée!
Le directeur d’une galerie de peinture téléphone à un artiste:
– L’exposition de tes œuvres a attiré l’attention de gens malhonnêtes. La galerie a été cambriolée, cette nuit.
– C’est la gloire! s’écrie le peintre.
– Euh…oui et non. Parce que je dois t’avouer qu’ils ont laissé tes tableaux en se contentant d’emporter ce qui a de la valeur: les cadres.
C’est un homme d’affaires qui est en vacances en Afrique. Il voit un pêcheur qui revient avec un poisson. Il admire sa prise et lui dit: