– Hey!!! Il me semble que je connais cette fille– là!!!
La deuxième, en prenant le miroir et en se regardant à son tour lui répond:
– Ben voyons!!! Tu es donc bien niaiseuse, c’est moi!!!
Une dame très enrhumée et très radine rencontre son médecin par hasard dans la rue et essaye aussitôt d’obtenir une consultation:
– Bonjour docteur, qu’est-ce que vous faites quand vous êtes enrhumé?
– Je fais comme vous, je tousse, j’éternue et je fais des économies!
– Mais pourquoi des économies, docteur?
Parce que, comme vous, je ne paye pas de consultation!
C’est une femme qui est à l’article de la mort[14]. Son mari lui tient la main, près du lit. Le mari a des larmes qui coulent doucement le long de ses joues. Bref, c’est triste.
– Chéri…
Le mari l’interrompt:
– Chut. Ne parle pas!
Mais la femme insiste de sa voix fatiguée et chevrotante:
– Chéri, laisse-moi parler. Je dois t’avouer quelque chose…
Le mari, tout en sanglots:
– Tu n’as rien à avouer. Tout va bien.
La femme:
– Non tout ne va pas bien. Il faut que je t’avoue une chose, sinon je ne pourrai pas mourir en paix: je t’ai trompé!
Le mari alors lui sert la main avec affection et répond:
– Ne te préoccupe pas de ça. Je suis au courant. Pourquoi t’aurais-je empoisonnée sinon?
C’est un homme qui téléphone chez lui et le domestique répond.
– Allô Nestor, passe-moi Madame.
– Euh… c’est que Madame elle est dans sa chambre.
– Eh bien nous avons un appareil dans la chambre. Passe-la moi.
– Eh bien c’est que… elle est occupée. Elle est avec un autre Monsieur dans votre chambre.
– Bon. Alors écoute moi bien Nestor. Tu vas faire ce que je te dis. Tu va aller dans le boudoir et prendre mon fusil. Tu sais où sont les balles?
– Oui Monsieur.
– Eh bien tu vas aller dans la chambre et tu va les tuer tous les deux.
– Bien Monsieur.
Pendant ce temps, on entend trois coups de feu et des bruits que Monsieur n’arrive pas à reconnaître.
– Nestor! Qu’est-ce qui s’est passé? J’ai entendu trois coups de feu.
– Eh bien c’est que j’ai tué Madame et raté le Monsieur. Alors je l’ai poursuivi jusque dans la cour. Il a glissé et tombé dans la piscine. C’est là que je l’ai eu.
– Comment? Quelle piscine? Est-ce que je suis bien au 34.56.42?
Un vieux monsieur et sa femme se baladent en voiture, lorsqu’un motard de la police double leur voiture et leur fait signe de se ranger sur le bas-côté[15]:
Le vieux monsieur dit:
«Que se passe-t-il, jeune homme?»
Le motard répond:
«Par le plus grand des hasards, n’auriez-vous pas remarqué que votre femme était tombée de la voiture lorsque vous avez redémarré de la station de service?»
Et le vieux monsieur répond:
«Non, je n’ai pas remarqué, fils. En fait j’avais juste pensé que je devenais sourd.
Dans un grand magasin, une femme perd son sac à main, dans la cohue de ce premier jour de Soldes….
Rentrée à la maison et désespérée, l’on sonne à la porte. Un jeune homme apparaît, son sac à main sous le bras!
«Je rêve! Il y a donc encore des gens honnêtes en ce monde! Merci, Merci beaucoup!»
Devant lui, elle l’ouvre; tout y est! Cependant, en ouvrant son porte-feuille… son billet de 50 euros a disparu, mais il s’y trouve: deux billets de 10, un de 20 et deux de 5 euros…
N’y comprenant rien du tout, elle demande au jeune homme: «Comment cela ce fait-il donc?!»
Au jeune de rétorquer:
«L’autre fois, j’avais ramené un sac à main à une personne qui m’a remercié sans me récompenser. Elle n’avait pas de monnaie…»
C’est une nouvelle hôtesse blonde qui accompagne l’équipage sur un vol courrier. Lors de l’escale, le commandant montre à la blonde où manger et dans quel hôtel dormir. Le lendemain l’équipage doit repartir. Tout le monde est à l’aéroport, sauf la nouvelle hôtesse. Le commandant qui s’inquiète appelle à l’hôtel et demande à lui parler. Elle décroche le téléphone, et en sanglotant, explique qu’il lui est impossible de sortir de sa chambre.
– Et pourquoi ça? Demande le commandant.
– Et bien, c’est parce qu’il y a seulement trois portes ici. L’une est la porte de la salle de bain, la seconde celle des toilettes et sur la troisième il y a une pancarte «Ne pas déranger!»
Une blonde rentre le soir de la maternelle chez sa mère.
– Aujourd’hui on a appris à compter et les autres filles, elles arrivent seulement jusqu’à 3 mais moi, regarde: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10, c’est bien, hein maman, c’est parce que je suis blonde tu crois?
– Mais oui ma fille, mais oui.
Le lendemain:
– Maman, aujourd’hui on a appris l’alphabet; les autres filles, elles arrivent à la lettre ‘e’ et moi bien: a b c d e f g h. C’est bien Maman hein, c’est parce que je suis blonde?
– Mais bien sûr.
Le surlendemain, la blondinette rentre de la piscine:
–Maman, maman, les filles de la classe, elles ont toutes une toute petite poitrine et moi bien tu sais comment je suis faite… (et elle exhibe son superbe 38c). C’est parce que je suis blonde, maman, hein?
–Ah non, ça c’est parce que tu as 18 ans.
Un homme est tranquillement assis et regarde la télévision. Tout à coup, sa femme arrive par derrière et lui donne un coup sur la tête avec une casserole.
–Pourquoi tu me frappes, demande-t-il…
–En lavant tes pantalons tout à l’heure, j’ai trouvé un bout de papier avec écrit dessus Marie…
–Oh! C’est parce que la semaine dernière je suis allé aux courses de chevaux et le cheval, sur lequel j’ai gagné, s’appelait Marie… Je voulais me souvenir du nom…
La femme semble satisfaite et s’excuse.
Trois jours plus tard, l’homme regarde la télévision et sa femme le frappe encore sur la tête par derrière à l’aide d’une casserole.
– Mais qu’est-ce qui te prend?
– Ton cheval a téléphoné!
Une jeune fille revient tristement d’un souper en amoureux avec son petit ami. Elle va chez sa mère pour lui parler de ses malheurs.
«Tu as l’air bien triste,» demande sa mère, «que se passe-t-il?»
«Pierre m’a demandé en mariage il y a à peine une heure.»
«Mais, je croyais que tu l’aimais, c’est merveilleux, non?»
«Tu ne comprends pas, maman! Il est athée!»
«Je ne vois pas où est le problème. Ça ne t’empêche pas d’avoir tes propres croyances.»
«Mais… c’est absurde! Il ne croit même pas que le ciel et l’enfer existent!» La mère regarde sa fille avec un sourire en coin.
«Ne t’en fais pas. Pour le ciel, il verra lorsqu’il sera mort et pour l’enfer, nous allons nous charger toutes les deux de lui prouver qu’il existe!»
Deux femmes agées, toutes deux veuves, passent ensemble un mois de vacances sur la côte d’Azur. Tous les après-midi, elles passent de longues heures sur le bord de la piscine de l’hotel pour se bronzer. En realité, elles cherchent à faire des rencontres… Depuis cinq ou six jours, elles ont notamment repéré un client de l’établissement qui, comme elles, consacre tous ses après-midi à se delasser près de la piscine. L’homme, apparemment seul, n’est plus de la toute première jeunesse mais il a fière allure. Un jour, l’une des deux femmes se décide à aborder le personnage et s’approchant de sa table, près de la piscine, lui demande: «Excusez-moi de vous déranger, mais nous nous demandions, mon amie et moi, pourquoi vous avez l’air si déprimé tous les jours. Vous semblez si solitaire?»
«Madame, c’est difficile de se réadapter à la liberté», répond l’homme. «Je viens de passer vingt ans de ma vie en prison…»
«Sans blague, et pourquoi?» demande la dame.
«J’ai été accusé d’avoir etranglé ma troisième femme.»
«Ah bon? Et votre seconde épouse?» demande la dame par curiosité.
«On m’a condamné pour lui avoir tiré huit coups de fusil dans le cœur.»
«Dites donc… Et, si je peux me permettre, qu’est-il arrivé à votre première femme?»
«Elle est accidentellement tombé d’un immeuble de trente étages…»
La dame se retourne alors en direction de son amie restée de l’autre côté de la piscine, et avec un grand sourire, elle lui crie: «Marie, Marie, il est célibataire!»