Frédéric Dard, sur Le Divan d’Henry Chapier, FR3, février 1989
Frédéric Dard, dit San-Antonio, de Jean Durieux, éditions Renaudot, 1990
Bibliographie illustrée Frédéric Dard-San-Antonio, de Christian Dombret, préface de Jérôme Garcin, Liège, Action-Media, 1990
Lettre à un raseur (Frédéric Dard), présentée par Thierry Gautier, À l’écart, 1991
Lettre à Frédéric Dard (Georges Simenon), présentée par Thierry Gautier, À l’écart, 1991
Frédéric Dard se raconte, entretiens avec Pierre Assouline, Lire, avril 1993
Moi, vous me connaissez ? de Pierre Grand-Dewyse, chez l’auteur, Paris, 1994
Lettre à San-Antonio (Jean Cocteau), présentée par Thierry Gautier, À l’écart, 1994
Frédéric Dard à Genève et à Fribourg, in Littérature vagabonde de Jérôme Garcin, Flammarion, 1995. Réédition Pocket, 1998
Portrait de Frédéric Dard, de François Rivière et Francis Gillery, série Un Siècle d’écrivains, France 3,1995
San-Antonio, premier flic de France, de Raymond Milési, DLM éditions, 1996
Daniel Sirach publie la revue « Le Monde de San-Antonio » (1, rue des Moissons, 04000 Digne-les-Bains). Six numéros sont déjà parus depuis l’été 1997
Remerciements
Je tiens à remercier tout particulièrement Mmes Odette Cuene-Grandidier, Françoise Dard et Jeanine Samard, pour le temps qu’elles ont bien voulu me consacrer, et les documents qu’elles m’ont aimablement fournis. De même, je sais gré à Élisabeth Dard de m’avoir laissé consulter la correspondance reçue de son père, ainsi qu’à Patrice Dard de m’avoir donné un peu de son temps.
Merci aussi à Marie-France Dayot et à Suzanne Beaufils pour les souvenirs et les précisions que j’ai pu recueillir auprès d’elles.
Merci encore à Thierry Gautier pour son érudition sans faille et à Jean-Paul Vérine pour son aide appréciable.
Je n’oublie pas Francis Gillery, dont les encouragements m’ont été précieux.
Je n’oublie pas non plus la contribution à mes recherches de Bertrand Puard, François Angelier, Claire Martin du Gard, Benoît Mouchart et Guy-Alban de Rougemont.
Enfin, j’aimerais remercier du fond du cœur celui qui, le 14 novembre 1967, répondit si gentiment à une lettre où je lui faisais part de mon intention d’écrire sur son œuvre un bref article destiné à une modeste revue amateur. Son courrier s’achevait en ces termes :
« Si vous avez besoin de moi, n’hésitez pas à m’écrire.
Des deux mains vôtre,
L’article projeté ne vit jamais le jour. Il a seulement mûri durant trente et un ans.