La planète souffre
Le chaos règne !
Et ne laisser que la mort
Un bal furieux règne,
Vous mourez tous
Satan vous a demandé des comptes !
Le Seigneur n'aidera pas
Tu brûleras en enfer pour toujours...
Nous allons vous émouvoir au visage,
Quel rêve d'orc !
Il n'y aura pas de pitié
Mort aux ennemis pitoyables...
Il n'y a pas de meilleure récompense
Donnez à chacun un cerveau !
L'ennemi ne sait pas
Que les orcs sont tout-puissants...
Le réveil sonne -
Le coup sera fort !
Faisons frire les elfes
Nous sommes les talons des pieds nus de la fille ...
Et nous écraserons les elfes,
Coupons les belles tresses !
Et si quelqu'un blabla
Il va devenir dur...
Il y a un fort bourdonnement dans la tête,
Et dans le ciel il y a du tonnerre avec un nuage !
Et si nous conquérons
Comme des loups dans le désert...
Les enfants marcheront
Pieds nus sur le billot !
Ce sont bien des animaux. Et ils ont marqué les prisonniers, qui pendant des années n'étaient pas des enfants, bien sûr, mais extérieurement, sauf qu'ils avaient de bons muscles, et vous ne donnerez pas cela aux gars pendant plus de douze ans. Et n'est-ce pas un péché de se moquer et de tourmenter une telle personne.
Mais que peut-on retenir des orcs : ils sont pires que des animaux. Et donc ils ont chassé les jeunes prisonniers. Et pour causer encore plus de douleur, ils ont commencé à jeter des charbons ardents sous les pieds nus et enfantins des jeunes captifs.
Les malheureux enfants criaient et versaient des larmes. Alors l'un des garçons, pour montrer sa force de caractère et son inflexibilité, prit et chanta :
La victoire attend, la victoire attend
Ceux qui aspirent à briser les chaînes ...
En attendant la victoire, en attendant la victoire -
Nous pourrons battre les orcs maléfiques !
Bien que nous soyons des enfants en apparence et pieds nus,
Souvent on va même aux battles...
Et le cœur des gars est d'or,
L'écume sera pénalisée !
Orc est comme un ours, cruel,
Et rugit comme un éléphant blessé...
Mais dans la bataille nous sommes des enfants de docks,
Les bourreaux n'entendent pas notre gémissement !
Nous ne nous agenouillerons jamais
Nous ne redresserons pas notre fier camp...
Il n'y a pas d'afflux, sachez la paresse
Frappons comme un marteau !
Un orc fait parfois frire les talons d'un monstre,
Brûle les pieds des filles...
Ici, ce sont les méchants,
Mais je vais le tuer garçon!
Dans le coeur d'un enfant, une flamme rugit violemment,
Et le feu fait vraiment rage...
Levez la bannière plus haut guerrier
Vous n'avez pas de limites, connaissez le don !
Oui, les garçons sont passionnés,
Nous sommes des enfants maintenant pour toujours...