72 N. Pasquier, Lettres, Paris, 1632, L. 1, p. 280.
73 E. Gauthier, Traité contre l’amour des parures, 2e éd., 1780, p. 122
74 P. Caussin, La Femme, ses vertus, ses défauts, éd. 1864, III, p. 211.
75 A. Petit, Le Miroir, Paris, 1747.
76 P. Le Moyne, Les Femmes, la Modestie et la Bienséance chrétienne (1667), éd. Paris, 1868, p. 75.
77 B. Lamy, De la connaissance de soy-mesme, Paris, 1669, p. 57.
78 J. Delumeau, Le Péché et la Peur; op. cit., p. 477.
79 J. Ancelin, L’Amant ressuscité (1658), Slatkine, 1980, p. 14.
80 A. Ferrand, Histoire des amours de Cléante et Bélise (1687), Slatkine, 1979, p. 36.
Mlle de Scudéry, Conversations morales…, op. cit., p. 85—148.
Глава II. Кривые зеркала и зеркальные хитрости
1 E. Tabourot, Les Apophtegmes du Sieur Gauland, éd. Rouen, 1626, p. 9.
2 M. Proust, A la Recherche du temps perdu, Du Côté de chez Swann, Gallimard I, 8.
3 S. Freud, «L’Inquiétante étrangeté», в кн. Essais de psychanalyse appliquée, Gallimard, 1952, P, 205.
4 Alberti, Traité de la peinture, Macula, 1992, p. 193.
5 Montaigne, Les Essais, III, 13, op. cit, p. 1065.
6 Ibid., I, 10, p. 40.
7 Ibid., III, 5, p. 880.
8 Svetlana Alpers, L’Art de dépeindre, op. cit., p. 117.
9 J.B. Chassignet, «Retourne le miroir», в кн. Le Mespris de la vie, CCLXXIV.
10 Morami, cité par Baltrusaitis, Le Miroir, op. cit, p. 241.
11 L. Van Delft, La Morale classique, Droz, 1982, P, 145.
12 Sonnet l’Etelan, «Le Miroir», цит. no Jean Rousset, Anthologie de la poésie baroque, A. Colin, 2e éd., 1968, p. 255. Cf. также Cecilia Rizza, «L’Image dans le miroir», в Baroque, n° 3, Montauban, 1969.
13 Puget de la Serre, Le Miroir qui ne flatte point, Paris, 1668, p. 11.
14 Le Moyne, Les Peintures morales, Paris, 1645, 1.5, p. 499.
15 Cf. G.R. Hocke, Le Labyrinthe de l’art fantastique, Gonthier, 1967. P. 110.
16 Comenius, Le Labyrinthe de l’âme, B. Gracian, El Criticon.
17 Platon, Phèdre, 255, Le Premier Alcibiade, 132d.
18 M. Scève, Mocricosme, I, v, 213–218.
19 Cl. de Taillemont, Champ a plesir, ljht. noj. eymard, Le Miroir dans la poésie française, op. cit., p. 475.
20 Cité par j. Frappier, «Variations sur le thème du miroir de Bernard de Bentadour à Maurice Scève», CAIEF, 1959, p. 134–158.
21 R. Belleau, Amours et Nouveaux Eschanges dans Les Poètes français du XVIe siècle, op. cit., p. 543.
22 M. Scève, La Délie, dizain 307.
23 Aragon, Le fou d’Eisa, cf. J. Lacan, Séminaire XI, 1975.
24 M. Tetel, Lectures scéviennes, Klincksieck, 1983, «Poésie et spécu-larité», p. 100.
25 J. Froissart, Poésies, «L’Espinette amoureuse».
26 J. Starobinski, L’Œil vivant, Gallimard, 1961, p. 218.
27 Stendhal, Le Rose et le Vert, Gallimard folio, 1982, p. 249.
28 Flaubert use de ce procédé à plusieurs reprises.
29 Goethe, Vouage de Wilhelm Meister, Pléiade, 1954, p. 1057.
30 L. Frioravanti, Traité des arts et des sciences, op. cit., p. 104.
31 G.B. Delia Porta, La Magie naturelle, op. cit., p. 348.
32 J. Baltrusantis, Anamorphoses ou Perspectives curieuses, O. Perrin, Ie éd., 1955, ré 1985. Cf. également J.-Cl. Margolin, «Aspects du surréalisme au XVIe siècle», Bibliothèque d’Humanisme et Renaissance, 1977.
33 C. Chevalley de Buson, «La Rationalité de l’anamorphose», XVIIe Siècle, juillet 1979, n° 124, p. 296.
34 J.-F. Nicéron, La Perspective curieuse, Paris, 1638, p. 71.
35 Athanase Kircher, Physiologia, Amstel, 1680, p. 125.
36 Le Temple de la paresse. Recueil de pièces nouvelles et galantes, Cologne, 1667, p. 100.
37 J. Starobinski, L’Invention de la liberté, Skira, 1965, p. 14.
38 P. Scuri, «Lo Specchio Rococo», Rassegna: Attraverso lo specchio, mars 1983.
39 Le Camus de Mézières, Le Génie de l’architecture, Paris, 1780, p. 119.
40 La Mettrie, L’Art de jouir, Œuvres, t. 3, 1796, p. 210.
41 Vivant Denon, Point de lendemain,, dans Les Romanciers français du XVIIIe siècle, Pléiade, p. 397.
42 Cité par J. Rousset, LIntérieuret l'Extérieur, José Corti, 1969, p. 203.
43 Gérard Bonnet P.U.F., 1983, t. 2, p. 67.
Глава III. Осколки зеркала
1 Rétif de La Bretonne, Monsieur Nicolas, Œuvres, Pléiade, 1989, p. 21.
2 D.W. Winnicot, Jeu et Réalité, Gallimard, 1971, p. 156.
3 В некоторых космогониях поздней Греции состояние человека, брошенного в мир, находило своеобразное «объяснение» в убийстве Диониса (Вакха) Титанами. Итак, чтобы привлечь внимание Диониса и чтобы обмануть его, Титаны (а по одной из версий, не Титаны, а ревнивая Гера) дарят Дионису, рожденному от союза Зевса с земной смертной женщиной, различные игрушки, и среди прочих и зеркало, а затем они, воспользовавшись изумлением Диониса-ребенка, впервые увидевшего свое отражение, убивают несчастного малютку и разрывают его тело на части. Для комментатора, исповедующего идеи неоплатонизма, душа, оказавшаяся в видимом мире и чрезвычайно увлеченная видом своего отражения, т. е. своего тела, позволяет страстям разрывать себя на части подобно тому, как Дионис был разорван Титанами.