Выбрать главу

Merci au colonel Derlinger et au professeur Falberg pour leurs précieuses conversations. Merci à Jean-Marc David pour ses remarques aussi constructives que chaleureuses. Merci à Hélène et Sam, à Stéphane et Martine pour leur amitié. Merci à Soizic et Stéphane pour les joyeuses soirées qui m’ont souvent rafraîchi les idées. C’est promis, Soizic, le prochain coup, ils s’embrasseront toutes les deux pages et ils cuisineront tout au beurre salé.

Merci à mes parents pour toutes les chances qu’ils m’ont données. Ils sont partis trop tôt et penser à eux m’a appris ce qu’est le manque de ceux que l’on aime. Merci à Annie et Bernard pour ce qu’ils sont, pour tout ce qu’ils donnent et aussi tout ce qu’ils fabriquent, ce qui concrètement va du vin aux plats bizarres et/ou brûlés mais délicieux en passant par tous ces moments de pur bonheur. Ils ont aussi fabriqué la femme de ma vie et rien que pour cela, ma dévotion leur est acquise, à condition que Bernard boive ce maudit élixir d’abord…

Merci à Brigitte, la seule avec qui la pire des galères peut finir en fou rire. Tu es une force pour nous tous. Merci à Sylvie pour sa fidélité, son sens inné de l’analyse et son petit rire mutin qui terrifie la plupart des créatures vivantes de notre planète. Merci à Katia — la vie a un autre sens depuis que je t’ai vue te retourner en kayak sur un loch d’Écosse. Merci à toi, Thomas, pour ta loyauté, pour cette amitié fraternelle sur laquelle je m’appuie chaque jour et pour ces citations absolues qui sont comme autant de soleils dans une nuit : « Un homme ne tombe pas tant qu’il est debout », « Tant que je caille pas des pieds, je caille pas », etc. Quant à toi Éric, vieux complice et frère d’armes, ne t’éloigne jamais. Si j’ai un cadavre à enterrer à trois heures du mat’, c’est pour toi et je sais déjà que tu seras en retard et que tu auras oublié les outils…

Pour les trois derniers piliers de ma vie, les remerciements ne sont pas suffisants. Pascale, Guillaume et Chloé, vous êtes ma raison de vivre, mon moteur, mon abri. On s’est probablement connus avant, on se retrouvera sûrement après, mais ce que l’on vit maintenant est en soi une raison suffisante pour justifier l’invention de ce monde insensé.

Et pour finir, merci à toi, lecteur. Tout est de ta faute. Je ne te connais pas mais c’est pour toi que j’ai imaginé, veillé et espéré. Tes sentiments m’importent et j’espère un jour te croiser. Ma vie, comme ce livre, est entre tes mains.

L’auteur

Né à Paris en 1965, Gilles Legardinier s’est toujours passionné pour la transmission de l’émotion. Dès l’âge de 15 ans, il travaille sur les plateaux de cinéma anglais et américains comme pyrotechnicien. Il s’oriente ensuite vers la production et réalise des films publicitaires ainsi que des bandes-annonces et quelques documentaires sur les coulisses de grands films. Il se consacre aujourd’hui à la communication écrite pour le cinéma et la réécriture de scénarios. Parallèlement, il a publié plusieurs romans dont des adaptations, mais aussi des livres pour la jeunesse tels que Le Sceau des Maîtres et Le Dernier Géant, récompensés à maintes reprises.