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[313] Cervantès ne pensait point alors à publier une seconde partie du Don Quichotte.

[314] Je demande pardon pour la traduction des sonnets et des épitaphes qui suivent. Que pouvait-on faire d’une poésie ridicule à dessein?

[315] Au temps de Cervantès, on commençait à peine à instituer des académies dans les plus grandes villes de l’Espagne, Madrid, Séville, Valence. En placer une à Argamasilla, c’était une autre moquerie contre ce pauvre village dont il ne voulait pas se rappeler le nom. Cervantès donne aux académiciens d’Argamasilla des surnoms ou sobriquets, comme c’était l’usage dans les académies italiennes.

[316] Issu du Congo.

[317] Mot formé de pan y agua, pain et eau; c’est de ce nom qu’on appelle les commensaux, les parasites, les gens auxquels on fait l’aumône de la nourriture.

[318] Le capricieux.

[319] Le moqueur.

[320] Nom de guerre d’un fameux renégat, corsaire d’Alger, et l’un des officiers de Barberousse, qui, sous le règne de Charles-Quint, fit plusieurs descentes sur les côtes de Valence.

[321] Orlando furioso, canto XXX. – Cervantès répète et traduit ce vers à la fin du premier chapitre de la seconde partie:

Y como del Catay recibio el cetro,

Quiza otro cantará con mejor plectro.