La porte de la bibliothèque s’ouvrit soudain et la pièce s’illumina. Alexandra, somptueuse dans une robe d’Azzaro qui la moulait comme un gant érotique, le chignon impeccable, la bouche pulpeuse, contemplait Malko, surprise.
— Pourquoi restes-tu dans le noir ? Ça ne va pas bien ?
Malko se leva et vint lui baiser la main.
— Ça va très bien, dit-il. Tu es magnifique.