Le meilleur spécialiste de l’art français au XIXe siècle, Bruno Foucart, professeur à la Sorbonne, a bien voulu relire le manuscrit de ce roman. Il a fait de nombreuses et justes remarques. L’auteur, peu soucieux d’exactitude, partisan de la vérité romanesque, n’en a le plus souvent tenu aucun compte, espérant que le professeur Foucart ne lui en voudrait pas. Ce roman lui est dédié.