3 Un des aperçus de la Théorie unitaire de Jean Charon.
4 Éric Temple Bell : Le Flot du temps, Gallimard Édit., Paris.
5 R. P. Dubrale : Débat radiophonique, 12 avril 1957.
6 « Le chercheur a dû reconnaître qu'à l'instar de tout être humain, il est autant spectateur qu'acteur dans le grand drame de l'existence. » Bohr.
7 Arthur Clarke : Les Enfants d'Icare (Éd. Gallimard).
8 Serge Hutin : Histoire des Rose-Croix, Gérard Nizet, édit., Paris.
9 Mon ami Rajah Raô.
10 Voir la troisième partie du présent ouvrage : « L'homme, cet infini. »
11 Une tradition moins sûre ferait des Rose-Croix les héritiers de civilisations englouties.
12 Robert Jungk : Plus clair que mille Soleils ou la Tragédie des Atomistes. Traduit de l'anglais. Éd. Arthaud, Paris.
13 Walter Dornberger : L'Arme secrète de Peenemünde. Éd. Arthaud, Paris.
14 Millikan : L'Électron.
15 Technique Mondiale, Paris, avril 1957.
16 Edwin Armstrong : The Inventor as Hero, article du Harper's Magazine.
17 Frazer : Le Rameau d'Or.
18 L'auteur du Mystère des Cathédrales et des Demeures philosophales.
19 Dans sa geôle de Reading, Oscar Wilde découvre que l'inattention de l'esprit est le crime fondamental, que l'attention extrême dévoile l'accord parfait entre tous les événements d'une vie, mais sans doute aussi, sur un plus vaste plan, l'accord parfait entre tous les éléments et tous les mouvements de la Création, l'harmonie de toutes choses. Et il s'écrie : « Tout ce qui est compris est bien ». C'est la plus belle parole que je connaisse.
20 Cf. le Miroir de la Magie, par Kurt Seligmann. Éd. Fasquelle, Paris.
21 Aspects de l'Alchimie Traditionnelle. Éd. de Minuit, Paris.
22 Newton Tercentenary Celebrations. Université de Cambridge, 1947.
23 Nous empruntons ce récit à l'ouvrage de Kurt Seligmann, déjà cité.
24 Des travaux sont en cours, dans divers pays, sur l'utilisation de particules (produites par de puissants accélérateurs) pour catalyser la fusion de l'hydrogène.
25 « La Tourbe des Philosophes » in « Bibliothèque des Philosophes Chimiques », 1741.
26 La stéréotronique est une science toute nouvelle qui étudie la transformation de l'énergie dans les solides. Une de ses applications est le transistor.
27 Ces deux ouvrages ont été réédités par l'Omnium Littéraire, 72, Champs-Élysées, Paris. La première édition date de 1925. Elle était depuis très longtemps épuisée et les curieux achetaient les rares exemplaires en circulation des dizaines de milliers de francs.
28 « L'opinion des plus instruits et des plus qualifiés est que celui qui se cacha, ou se dissimule encore de nos jours sous ce fameux pseudonyme de Fulcanelli, est le plus célèbre et sans doute le seul alchimiste véritable (peut-être le dernier) de ce siècle où l'atome est roi. » Claude d'Ygé, revue Initiation et Science, n° 44, Paris.
29 Cette méthode consiste à suspendre le mélange à fondre dans le vide, hors de tout contact avec une paroi matérielle, au moyen d'un champ magnétique.
On fond alors par un courant à haute fréquence.
L'hebdomadaire américain Life, en janvier 1958, a publié de très belles photos d'un four de ce genre, en action.
30 Jacques Bergier déclare avoir assisté à ce phénomène.
31 Le professeur Ralph Milne Farley, sénateur des États-Unis, et professeur de physique moderne à l'École militaire de West Point, a attiré l'attention sur le fait que certains biologistes pensent que le vieillissement est dû à l'accumulation de l'eau lourde dans l'organisme. L'élixir de longue vie des alchimistes serait une substance éliminant sélectivement l'eau lourde. De telles substances existent dans la vapeur d'eau. Pourquoi n'en existerait-il pas dans l'eau liquide traitée d'une certaine façon ? Mais une découverte de cette importance pourrait-elle être propagée sans danger ? Mr. Farley imagine une société secrète d'immortels, ou quasi-immortels, existant depuis des siècles et se reproduisant par cooptation. Une telle société, qui ne se mêlerait pas de politique et n'interviendrait nullement dans les affaires des hommes, aurait toutes chances de passer inaperçue…
32 René Alleau : Préface à l'ouvrage de M. Le Breton : Les clefs de la Philosophie spagyrique. Éd. Caractères, Paris.
33 Éd. des Deux-Rives, Paris, Coll. « Lumière interdite », dirigé par Louis Pauwels.
Après Le Livre des Damnés, Fort publia, en 1923, Terres Nouvelles. Parus après sa mort : Lo ! en 1931 et Talents sauvages, en 1932. Ces œuvres jouissent d'une certaine célébrité en Amérique, en Angleterre et en Australie.
J'emprunte de nombreuses données à l'étude de Robert Benayoun.
34 M. Tiffany Thayer déclarait notamment :
« Les qualités de Charles Fort séduisirent un groupe d'écrivains américains qui résolurent de poursuivre, en son honneur, l'attaque qu'il avait lancée contre les prêtres tout-puissants du nouveau Dieu : la Science, et contre toutes les formes de dogmes. C'est dans ce but que fut fondée la Société Charles Fort, le 26 janvier 1931.
« Parmi ses fondateurs se trouvaient Théodore Dreiser, Booth Tarkington, Ben Hecht, Harry Leon Wilson, John Cowper Powys, Alexander Woollcott, Burton Rascoe, Aaron Sussman, et le secrétaire soussigné Tiffany Thayer.
« Charles Fort mourut en 1932, à la veille de la publication de son quatrième ouvrage. Talents sauvages. Les innombrables notes qu'il avait recueillies dans les bibliothèques du monde entier, par le truchement d'une correspondance internationale, furent léguées à la Société Charles Fort : elles constituent aujourd'hui le noyau des archives de cette société, lesquelles s'accroissent chaque jour grâce à la contribution des membres de quarante-neuf pays, sans compter les États-Unis, l'Alaska et les îles Hawaï.
« La société publie une revue trimestrielle, Doubt (Le Doute). Cette revue est en outre une sorte de chambre de compensation pour tous les faits « maudits », c'est-à-dire ceux que la science orthodoxe ne peut ou ne veut assimiler : par exemple, les soucoupes volantes. En effet, les renseignements et les statistiques que possède la société sur ce sujet constituent l'ensemble le plus ancien, le plus vaste et le plus complet qui soit.
« La revue Doubt publie également les notes de Fort. »
35 Les monnaies bactriennes, frappées par le roi Euthydémus II, 235 ans avant J.-C. (Scientific American, janvier 1960).
36 Préface à l'Île magique de William Seabrook. (Firmin Didot Édit Paris, 1932.)
37 Autres mystères de l'histoire des techniques :
La méthode d'analyse spectrale a été récemment utilisée par l'Institut de physique appliquée de l'Académie des sciences chinoise pour examiner une ceinture avec ornements ajourés, vieille de 1600 ans, trouvée enterrée au milieu de maints autres objets dans la tombe du fameux général des Tsin de l'Ouest, Chou Chu, contemporain de la fin de l'empire romain (265-316 après J.-C.). Il apparut que le métal de cette ceinture était composé de 85 pour 100 d'aluminium, 10 pour 100 de cuivre et 5 pour 100 de manganèse.