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102  Fulcanelli : Le Mystère des cathédrales.

103  Extrait de la nouvelle : À travers les Portes de la Clef d'Argent, que Bergier et moi avons publiée en français dans un recueil intitulé : Démons et Merveilles. (Coll. « Lumière Interdite », Éd. des Deux Rives, Paris.)

104  Bulletin de Liaison des Cercles de Politique Économique, mars 1959.

105  René Alleau De la nature des Symboles (Flammarion, édit.).

106  Mircea Eliade : Images et Symboles.

107  « Les Centres du plaisir du cerveau », dans Scientific Americain, oct. 1956.

108  Dans un roman : The Black Cloud. Des nuages noirs dans l'espace, entre les étoiles, sont des formes supérieures de la vie. Ces super-intelligences se proposent d'éveiller les hommes de la Terre en envoyant des images lumineuses qui produisent dans les cerveaux des connexions réalisant « l'état de conscience éveillée ».

109  Farther Outlook, non traduit.

110  « Or, j'ai découvert, par des moyens que je ne comprends qu'imparfaitement, le secret de remonter le cours des événements. C'est comme nager. Une fois qu'on a attrapé le coup, on ne l'oublie jamais. Mais l'apprendre exige une pratique constante et il faut pour y arriver une certaine crispation involontaire de l'esprit ou des muscles. Je suis sûr de ceci : il n'est pas d'homme qui sache exactement comment il a, la première fois, surmonté la difficulté de nager, et sans aucun doute les voyants les plus experts eux-mêmes, ne peuvent expliquer aux autres le secret de remonter le flot du temps. »

Comme Fred Hoyle et comme beaucoup d'autres savants anglais, américains ou russes, Eric Temple Bell écrit des essais ou des romans fantastiques (sous le pseudonyme de John Taine). Bien sot le lecteur qui ne verrait là qu'une distraction de grands esprits. C'est la seule façon de faire circuler certaines vérités non admises par la philosophie officielle. Comme dans toute période prérévolutionnaire, les pensées de l'avenir sont publiées sous le manteau. La jaquette d'un ouvrage de « science-fiction », voilà le manteau de 1960.

111  Cf. L'ouvrage de Yoseph Millard sur Cayce, non traduit, Copyright Cayce Foundation, et l'étude de John W. Campbell dans Astounding S.F., de mars 1957, et Thomas Sugrue : Edgar Cayce Dell Book.

112  Theoria philosophiœ naturalis redacta ad unicam legem virium in natura existentium.

113  Voir : La Lévitation, par le R.P. Olivier Leroy. Éd. du Cerf, Paris.

114  Si la plupart des archéologues s'accordent pour nier totalement l'existence dans le passé de civilisations avancées, disposant de moyens matériels puissants, la possibilité de l'existence à toute époque de l'humanité d'un petit pourcentage d'êtres éveillés, utilisant les forces naturelles avec « les moyens du bord », ne peut guère être démentie.

Nous pensons même qu'un examen méthodique des données archéologiques et historiques confirmerait cette hypothèse.

Comment cet éveil aurait-il commencé ?

On peut évidemment invoquer des interventions du Dehors. On peut également imaginer une interprétation purement matérialiste, rationaliste.

C'est une telle interprétation que nous voudrions proposer. La physique des rayons cosmiques a découvert depuis plusieurs années ce qu'elle appelle des événements extraordinaires. On appelle « événement » en physique cosmique la collision entre une particule venant de l'espace et notre matière.

En 1957, comme nous le signalons dans notre étude sur l'alchimie, on a détecté une particule exceptionnelle d'une énergie fantastique, énergie atteignant 1018 électrons-volts, alors que la fission de l'uranium ne produit que 2  108.

Admettons qu'une fois seulement, depuis la naissance de l'humanité, une telle particule ait frappé un cerveau humain. Qui sait si les énormes énergies dégagées ne pourraient pas produire une activation et si le premier « homme éveillé » n'est pas né ainsi.

Cet homme éveillé aurait pu découvrir, aurait pu appliquer des techniques pour transmettre l'éveil. Sous des formes diverses, cette technique se serait prolongée jusqu'à notre époque et le Grand Œuvre des Alchimistes, l'Initiation seraient peut-être plus que des légendes. Notre hypothèse n'est évidemment qu'une hypothèse. Elle ne paraît pas être vérifiable expérimentalement, car on ne peut même pas concevoir un accélérateur artificiel produisant d'aussi formidables, d'aussi fantastiques énergies. Tout ce que nous pouvons dire, c'est que le très grand savant anglais, sir James Jeans, avait écrit : « C'est peut-être la radiation cosmique qui a fait du singe l'homme » (cette citation provient de son livre : Le Mystérieux Univers, Hermann éd., 1929).

Nous ne faisons que reprendre ces idées, avec des données modernes que sir James Jeans ignorait et qui nous permettent d'écrire : « C'est peut-être les événements cosmiques exceptionnels aux énergies fantastiques qui ont fait de l'homme le surhomme. »

115  Publiée par la revue Les Temps modernes en juin 1957 et traduite de l'espagnol par Paul Bénichou, on en lira un extrait à la fin de ce chapitre.

116  Ce sont des mathématiciens polonais contemporains. Banach fut assassiné par les Allemands à Auschwitz. Tarski est encore vivant et traduit actuellement en français son monumental traité de logique mathématique.

117  New York Herald Tribune, 23 novembre 1959.

118  On a publié en U.R.S.S., au début de 1959, le journal du père de l'astronautique, Tsiolkovski. Il écrit qu'il a pris la plupart de ses idées dans les travaux de Boscovitch.

119  Cf. Nouvelles littéraires, 2 mars 1950, article intitulé : « Qu'est-ce que la vie ? »

120  P. Morand et H. Laborit Les Destin de la vie et de l'homme, Masson, éd., Paris, 1959.

121  Loren Eiseley.