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«Ah! putains, maquereau, charogne, pourriture, choléra, vous vous foutez de moi? Mon fouet, où est mon fouet?»

Et l’apercevant, il s’en saisit pour taper de toutes ses forces sur Mony, Alexine et Culculine dont les corps nus bondissaient sous les cinglées qui laissaient des marques saignantes. Puis il se mit à rebander et, sautant sur Mony, se mit à l’enculer.

La porte d’entrée était restée ouverte, et le sergot, qui ne voyant pas revenir le cocher, était monté, pénétra à cet instant dans la chambre à coucher; il ne fut pas long à sortir son vit réglementaire. Il l’insinua dans le cul de Culculine qui gloussait comme une poule et frémissait au contact froid des boutons d’uniforme.

Alexine inoccupée prit le bâton blanc qui se balançait dans la gaine au côté du sergent de ville. Elle se l’introduisit dans le con, et bientôt cinq personnes se mirent à jouir effroyablement, tandis que le sang des blessures coulait sur les tapis, les draps et les meubles et pendant que dans la rue on emmenait en fourrière le fiacre abandonné 3269 dont le cheval péta tout au long du chemin qu’il parfuma de façon nauséabonde.

III

Quelques jours après la séance que le cocher de fiacre 3269 et l’agent de police avaient achevée de façon si bizarre, le prince Vibescu était à peine remis de ses émotions. Les marques de la flagellation s’étaient cicatrisées et il était mollement étendu sur un sofa dans un salon du Grand-Hôtel. Il lisait pour s’exciter les faits divers du JOURNAL. Une histoire le passionnait. Le crime était épouvantable. Un plongeur de restaurant avait fait rôtir le cul d’un jeune marmiton, puis l’avait enculé tout chaud et saignant en mangeant les morceaux rôtis qui se détachaient du postérieur de l’éphèbe. Aux cris du Vatel en herbe, les voisins étaient accourus et on avait arrêté le sadique plongeur. L’histoire était racontée dans tous ses détails et le prince la savourait en se branlottant doucement la pine qu’il avait sortie.

À ce moment on frappa. Une femme de chambre accorte, fraîche et toute jolie avec son bonnet et son tablier, entra sur l’ordre du prince. Elle tenait une lettre et rougit en voyant la tenue débraillé de Mony qui se reculotta:

«Ne vous en allez pas, mademoiselle la jolie blonde, j’ai deux mots à vous dire.» En même temps il ferma la porte et, saisissant la jolie Mariette par la taille, il l’embrassa goulûment sur la bouche. Elle se débattit d’abord serrant très fort les lèvres, mais bientôt, sous l’étreinte, elle commença à s’abandonner, puis sa bouche s’ouvrit. La langue du prince y pénétra aussitôt mordue par Mariette dont la langue mobile vint chatouiller l’extrémité de celle de Mony.

D’une main, le jeune homme entourait sa taille, de l’autre, il relevait ses jupes. Elle ne portait pas de pantalon. Sa main fut rapidement entre deux cuisses grosses et rondes qu’on ne lui eût pas supposées car elle était grande et mince. Elle avait un con très poilu. Elle était très chaude et la main fut bientôt à l’intérieur d’une fente humide, tandis que Mariette s’abandonnait en avançant le ventre. Sa main à elle errait sur la braguette de Mony qu’elle arriva à déboutonner. Elle en sortit le superbe boute-joie qu’elle n’avait fait qu’apercevoir en entrant. Ils se branlaient doucement; lui, lui pinçant le clitoris; elle, pressant son pouce sur le méat du vit. Il la poussa sur le sofa où elle tomba assise. Il lui releva les jambes et se les mit sur les épaules, tandis qu’elle se dégrafait pour faire jaillir deux superbes tétons bandants qu’il se mit à sucer tour à tour en faisant pénétrer dans le con sa pine brûlante. Bientôt, elle se mit à crier:

«C’est bon, c’est bon… comme tu le fais bien…»

Alors elle donna des coups de cul désordonnés, puis il la sentit décharger en disant:

«Tiens, je jouis… tiens… prends tout.»

Aussitôt après, elle lui empoigna brusquement la pine en disant:

«Assez pour ici.»

Elle la sortit du con et se l’entra dans un autre trou tout rond, placé un peu plus bas, comme un œil de cyclope entre deux globes charnus, blancs et frais. La pine, lubrifiée par le foutre féminin, pénétra facilement et, après avoir culeté vivement, le prince lâcha tout son sperme dans le cul de la jolie femme de chambre. Ensuite il entendit sa pine qui fit: «floc», comme quand on débouche une bouteille et sur le bout il y avait encore du foutre mêlé d’un peu de merde. À ce moment, on sonna dans le corridor et Mariette dit: «Il faut que j’aille voir». Et elle se sauva après avoir embrassé Mony qui lui mit deux louis dans la main. Dès qu’elle fut sortie, il se lava la queue, puis décacheta la lettre qui contenait ceci:

«Mon beau Roumain,

«Que deviens tu? Tu dois être remis de tes fatigues. Mais souviens-toi de ce que tu m’as dit: si je ne fais pas l’amour vingt fois de suite, que onze mille verges me châtient. Tu ne l’as pas fait vingt fois, tant pis pour toi.

«L’autre jour tu as été reçu dans le foutoir d’Alexine, rue Duphot. Mais maintenant que nous te connaissons, tu peux venir chez moi. Chez Alexine, ce n’est pas possible. Elle ne peut même pas me recevoir, moi. c’est pour ça qu’elle a un foutoir. Son sénateur est trop jaloux. Moi, je m’en fous; mon amant est explorateur, il est en train d’enfiler des perles avec des négresses de la Côte d’Ivoire. Tu peux venir chez moi, 214, rue de Prony. Nous t’attendons à quatre heures.

«Culculine d’Ancône.»

Sitôt qu’il eût lu cette lettre, le prince regarda l’heure. Il était onze heures du matin. Il sonna pour faire monter le masseur qui la massa, et l’encula proprement. Cette séance le vivifia. Il prit un bain t il se sentit frais et dispos en sonnant pour le coiffeur qui le coiffa et l’encula artistiquement. Le pédicure manucure monta ensuite. Il lui fit les ongles et l’encula vigoureusement. Alors le prince se sentit tout à fait à son aise. Il descendit sur les boulevards, déjeuna copieusement, puis prit un fiacre qui le mena rue de Prony. C’était un petit hôtel, tout entier habité par Culculine. Une vieille bonne l’introduisit. Cette habitation était meublée avec un goût exquis. On le fit entrer de suite dans une chambre à coucher dont le lit très bas et en cuivre était très large. Le parquet était recouvert de peaux de bêtes qui étouffaient le bruit des pas. Le prince se déshabilla rapidement et il était tout nu lorsqu’entrèrent Alexine et Culculine dans des déshabillés ravissants. Elles se mirent à rire et l’embrassèrent. Il commença par s’asseoir, puis prit les deux jeunes femmes chacune sur une de ses jambes, mais en relevant leur jupon de façon qu’elles restaient décemment habillées et qu’il sentait leurs culs nus sur ses cuisses. Puis il se mit à les branler chacune d’une main, tandis qu’elles lui chatouillaient le vit. Quand il les sentit bien excitées, il leur dit:

«Maintenant nous allons faire la classe.»

Il les fit asseoir sur une chaise en face de lui, et après avoir réfléchi un instant, leur dit:

«Mesdemoiselles, je viens de sentir que vous n’avez pas de pantalon. Vous devriez avoir honte. Allez vite en mettre un.»

Quand elles revinrent, il commença la classe.

«Mademoiselle Alexine Mangetout, comment s’appelle le roi d’Italie?

– Si tu crois que ça m’occupe, je n’en sais rien, dit Alexine.

– Allez-vous mettre sur le lit,» cria le professeur.

Il la fit mettre sur le lit à genoux et le dos tourné, lui fit relever ses jupes et écarter la fente du pantalon d’où émergèrent les globes éclatants de blancheur des fesses. Alors il se mit à taper dessus du plat de la main; bientôt le postérieur commença à rougir. Cela excitait Alexine qui faisait beau cul, mais bientôt le prince lui-même n’y tint plus. Passant ses mains autour du buste de la jeune femme, il lui empoigna ses tétons sous le peignoir, puis, faisant descendre une main, il lui chatouilla le clitoris et sentit que son con était tout mouillé. Ses mains à elle n’étaient pas inactives; elles avaient empoigné la pine du prince et l’avaient dirigée dans le sentier étroit de Sodome. Alexine se penchait de façon à ce que son cul ressortit mieux et pour faciliter l’entrée à la bite de Mony.