Tu n'as plus rien à me dire
Je ne suis qu'un souvenir
Peut-être pas trop mauvais
Jamais plus je ne te dirai
Salut, c'est encore moi!
Salut, comment tu vas?
Le temps m'a paru très long
Loin de la maison j'ai pensé à toi
Salut les amoureux
Paroles: Pierre Delanoë, Rachelle Dassin. Musique: Steve Goodman 1972 "Joe"
Titre originaclass="underline" "City of New Orleans "
autres interprètes: Claude Martel, Elsa, Miossec, Etienne Drapeau, Louise Féron et Jérôme Soligny (1993), Isabelle Antena (1999)
note: Adaptation du titre d’Arlo Guthrie (1972).
Les matins se suivent et se ressemblent
Quand l'amour fait place au quotidien
On n'était pas fait pour vivre ensemble
Ça n'suffit pas de toujours s'aimer bien
C'est drôle, hier, on s'ennuyait
Et c'est à peine si l'on trouvait
Des mots pour se parler du mauvais temps
Et maintenant qu'il faut partir
On a cent mille choses à dire
Qui tiennent trop à cœur pour si peu de temps
On s'est aimé comme on se quitte
Tout simplement sans penser à demain
A demain qui vient toujours un peu trop vite
Aux adieux qui quelque fois se passent un peu trop bien
On fait c'qu'il faut, on tient nos rôles
On se regarde, on rit, on crâne un peu
On a toujours oublié quelque chose
C'est pas facile de se dire adieu
Et l'on sait trop bien que tôt ou tard
Demain peut-être ou même ce soir
On va se dire que tout n'est pas perdu
De ce roman inachevé, on va se faire un conte de fées
Mais on a passé l'âge, on n'y croirait plus
On s'est aimé comme on se quitte
Tout simplement sans penser à demain
A demain qui vient toujours un peu trop vite
Aux adieux qui quelque fois se passent un peu trop bien
Roméo, Juliette et tous les autres
Au fond de vos bouquins dormez en paix
Une simple histoire comme la nôtre
Est de celles qu'on écrira jamais
Allons petite il faut partir
Laisser ici nos souvenirs
On va descendre ensemble si tu veux
Et quand elle va nous voir passer
La patronne du café
Va encore nous dire "Salut les amoureux"
On s'est aimé comme on se quitte
Tout simplement sans penser à demain
A demain qui vient toujours un peu trop vite
Aux adieux qui quelque fois se passent un peu trop bien
Sandy
Sandy, oh Sandy!
Ensemble on va faire une jolie photo d'amour
Pour deux francs on est unis pour toujours
Sandy, oh Sandy
Tu n'as que huit ans, j'en ai deux mille, mais tu sais
Que si tu m'attends, je t'epouserai
Elles seront sans doute effemeres nos noces de carton
Et celles d'une vie entiere nous les dechirons
Sandy, oh Sandy
J'en ai connu des fêtes qui donnaient sur le neant
On ne sais plus jouer quand on est grand
Sandy…
Avec elle c'est autre chose, ce n'est plus un jeu
Avec elle ce n'est plus un rôle, c'est presque serieux
Sandy, oh Sandy
Petit chaperon rouge, je te donne rendez-vous
Ce soir tu vas croquer le mechant loup
Sandy, Sandy
Ce soir c'est la premiere fois qu'un diable comme moi
Souris a un ange comme toi
Sandy…
Si je dis "je t'aime"
Quai de gare, soir de cafard,
Retour vers la grande école,
J'ai quatorze ans, elle presqu'autant
Son petit nom c'est Nicole
Elle s'en va, je reste là
Et je lui paye un bouquin,
Un p'tit message entre les pages
Qu'elle va lire dans le train
Si un beau jour je dis "je t'aime"
Surtout ne t'en fais pas
Si un beau jour je dis "je t'aime"
Ce sera sûrement à toi
Depuis ce temps je suis souvent
Tout au bord du grand amour
Mais comme j'ai peur de replonger,
Mes promesses tournent court.
Pourtant j'y crois à chaque fois
A ce sacré bonheur
Et je m'entends distinctement
Leur mentir de tout mon cœur
Si un beau jour je dis "je t'aime"
Surtout ne t'en fais pas
Si un beau jour je dis "je t'aime"
Ce sera sûrement à toi
Ça y est, cette fois je sais
Que tu seras la dernière
T'as tout ce qu'il faut, même les défauts
Pour me prendre, pour me plaire
Pourtant t'as pas confiance en moi
Et tu crois bêtement qu'je mens
Quand je t'écris ces mots gentils
Que j'écrivais jamais avant
Si un beau jour je dis "je t'aime"
Surtout ne t'en fais pas
Si un beau jour je dis "je t'aime"
Ce sera sûrement à toi
Si tu penses à moi
Si tu penses à moi,
Comme je pense à toi.
Si tu penses à moi,
Comme je pense à toi.
Mon île est triste,
C'est une plateforme d'acier,
Perdue dans les brouillards du Nord.
La mer d'Iroise est un grand petrolier,
Où tout est noir, le ciel et l'eau.
Ça va faire trois mois
Que l'on est séparés.
Trois mois de trop.
Mais l'hélicoptère,
Qui vient d'Angleterre,
Va m'apporter bientôt
Ta lettre.
Si tu penses à moi,
Comme je pense à toi.
Si tu penses à moi,
Comme je pense à toi.
Quel drôle de siècle,
Où pour gagner sa vie,
Il faut en perdre le meilleur.
Tu m'oublies peut-être,
Dans ce lointain pays,
Où l'on fait le parfum des fleurs.
Ecris-moi, je t'en prie.
Si tu penses à moi,
Comme je pense à toi.
Si tu penses à moi,
Comme je pense à toi…
Si tu peux lire en moi
Si tu peux lire en moi
Tu vas voir la triste histoire
D'un malheureux fantôme
Enfermé dans un vieux manoir
Dans la tour de guet
D'un château hante
Avec des chaînes aux pieds
C'est moi le prisonnier
Pour qu'on me rende ma liberté
Il faudrait que tu viennes me sauver