{Au refrain}
Le surnom d'infâme
Me va comme un gant
D'avecques ma femme
J'ai foutu le camp
Parce que depuis tant d'années
C'était pas une sinécure
De lui voir tout l'temps le nez
Au milieu de la figure
Je bats la campagne
Pour dénicher la
Nouvelle compagne
Valant celle-là
Qui, bien sûr, laissait beaucoup
Trop de pierres dans les lentilles
Mais se pendait à mon cou
Quand j'perdais mes billes
{Au refrain}
J'avais une mansarde
Pour tout logement
Avec des lézardes
Sur le firmament
Je l'savais par cœur depuis
Et pour un baiser la course
J'emmenais mes belles de nuits
Faire un tour sur la Grande Ourse
J'habite plus d'mansarde
Il peut désormais
Tomber des hallebardes
Je m'en bats l'œil mais
Mais si quelqu'un monte aux cieux
Moins que moi j'y paie des prunes
Y a cent sept ans – qui dit mieux?
Qu'j'ai pas vu la lune
{Au refrain}
Avoir un bon copain
Paroles: Jean Boyer. Musique: Werner-Richard Heymann 1930
Titre originaclass="underline" "Ein Freund, ein guter Freund"
autres interprètes: Georges Guétary (1955), André Dassary (1971), Georgette Plana (1973), Christian Borel (1979), Georges Brassens (1980), Francis Lemarque (1989)
note: du film "Le chemin du Paradis"
C'est le printemps
On a vingt ans
Le cœur et le moteur
Battent gaiement
Droit devant nous
Sans savoir où
Nous filons comme des fous
Car aujourd'hui
Tout nous sourit
Dans une auto
On est bien entre amis
Aussi chantons
Sur tous les tons
Notre plaisir d'être garçon!