On a tous nos intérieurs, nos petits choses.
Ce qui fait qu'une lutte peut être quelque chose.
Souvent je m'attendais moi-même
Me disant il faut que tu viennes!
Il faut que tu viennes de toi-même tu sais,
J'ai autre chose à faire!
Alors je t'évacue, d'un geste de la main,
Te ramène à la porte, te montre le chemin.
Mais tu es revenu à la chaîne!
Et je suis passé de la haine,
De la haine à l'indifférence, de l'indifférence à l'errance.
Et tu sais, le jour où la vie m'a lâché,
J'ai senti sa présence, il m'a raccompagné…
J'ai compris c'était pour la prochaine,
Que dans l'autre vie j'emporterai mon problème
Je me souviens de cette fille
Qui apprenait à me dire "je t'aime"!
Il y en a qui se suent, qui travaillent sur eux-mêmes.
Des marins sur la mer, seuls avec leur problèmes
Qui voudraient jamais revenir
De peur hélas de reproduire,
De reproduire la même chose leur seul exemple sur la terre!
Il y en a qui se suent, qui travaillent sur eux-mêmes.
Des marins sur la mer, seuls avec leur problèmes
Qui voudraient jamais revenir
De peur hélas de reproduire,
De reproduire la même chose leur seul exemple sur la terre!
Il y en a qui se suent, qui travaillent sur eux-mêmes.
Des marins sur la mer, seuls avec leur problèmes
Qui voudraient jamais revenir
De peur hélas de reproduire,
De reproduire la même chose!
Le saule
Déchiré par le vent, usé par le temps
Tu es déjà passé devant, un vieux merle vit dedans
Abimé par les enfants, délaissé par les parents
Encerclé de bâtiments, arrosé de temps en temps
Il meurt, n'exprime pas sa douleur
Entre le froid et la chaleur l'échap'ment des moteurs
Il crève, puise dans sa sève, pour que ses branches s'élèvent
Avant que le temps ne les achève