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Quel est ton nom Quelle est la raison Qui nous emmène, et qui nous perd Entre la lumière et l'enfer Qu'ils ont gravé sur chaque pierre Avant de finir en poussière

Quelle que soit la manière

2001

Sous le soleil des projecteurs, venir avec ma peur, Trembler du cœur au bout des cils, Trembler comme sur un fil, Porter par la musique, oser, oser tout vous avouer, Aux creux de tous mes oreillers C'est vous que j'imaginais.
Mes rêves disaient la vérité, Mes rêves déjà nous rapprochaient, Et me parlaient souvent de nous de moi qui chanterais pour vous,
Mes rêves disaient la vérité, au creux de tous mes oreillers, j'en ai tellement rêvé Et cette fois c'est vrai. Quand vos briquets éclairent la salle Je vois comme des étoiles, D'ici c'est beau si vous saviez, C'est beau à en pleurer Quand elle deviennent des bravos Alors à chaque fois vos mains ressemblent à des oiseaux Qui volent autour de moi.
Mes rêves disaient la vérité, Mes rêves déjà nous rapprochaient, Et me parlaient souvent de nous de moi qui chanterais pour vous, Mes rêves disaient la vérité, au creux de tous mes oreillers, j'en ai tellement rêvé Et cette fois c'est vrai.
Mes rêves disaient la vérité, Mes rêves déjà nous rapprochaient, Et me parlaient souvent de nous de moi qui chanterais pour vous, Mes rêves disaient la vérité, au creux de tous mes oreillers, j'en ai tellement rêvé Et cette fois c'est vrai. Et cette fois c'est vrai. Et cette fois c'est vrai.

Rebelles

Paroles: H. Ségara, A. Belatach. Musique: M. Wells, S. Abaldonato 1999 "Au nom d'une femme"

Sur les traces du silence Ils surgissent des sables La poussière et l'absence Jamais ne les accablent Ils s'en vont dans la nuit Pour chercher un soleil D'éternité Ils marchent sans un bruit Guidés par l'étincelle Ils sont restés
Des rebelles, rebelles Des rebelles, rebelles
Ils n'ont rien que le ciel Pour abriter leurs jours Et les roches immortelles Pour marquer leur parcours Ils laissent dans ma vie Des éclats de soleil De vérité Je les suis sans un bruit Quand dans mon cœur s'éveille La liberté
Des rebelles, rebelles Des rebelles, rebelles
Des rebelles, rebelles Des rebelles, rebelles…

Regarde

2003

Regarde les gens qui s'embrassent Regarde les arbres au printemps La naissance magique d'un arc-en-ciel Regarde le rire d'un enfant
Regarde les mains du violoniste Regarde les couleurs du Gauguin Le sourire que semble faire la lune Regarde la lumière du matin

{Refrain:}

Dis-moi, dis-moi que la vie N'a plus d'importance Que tout ce qu'on vit N'a pas de sens
Dis, dis-moi si tu l'oses Que rien ne sert à rien Ou si peu de chose Qu'on en souhaite la fin
Ecoute les anges qui te parlent Ecoute le chant des baleines L'écho qui dépasse les montagnes Ecoute les vagues qui reviennent
Regarde ce que les gens bâtissent Regarde ailleurs que dans les miroirs Même rien qu'une aile de papillon Mais regarde tout ce qu'on peut voir

Rien n'est comme avant

Paroles: Hélène Segara – Mathias Goudeau. Musique: Hélène Segara – Mathieu Lecat 2006 "Quand l'éternité"

Ecouter le ciel Sensible à ces âmes qui dansent Qui font que nos vies avancent Même si tout s'enfuit
Chercher l'essentiel Voir l'ombre de ceux qui manquent Continuer comme ça vous chante Même si tout s'enfuit
Tournent les anges Quand tout se mélange Quand on ferme les yeux

{Refrain:}

Mais rien n'est comme avant Toujours la vie reprend Tout ce qu'elle a donné Tout ce qu'on a aimé, tellement Mais rien n'est comme avant L'absence nous apprend Tout ce qu'on a aimé Continue d'exister Mais pas comme avant
Espérer le sel De la vie sur l'existence Au-delà de nos souffrances Même si tout s'enfuit
Tournent les anges Quand tout se mélange Quand on ferme les yeux

{Au Refrain}

Mon amour, on attend Pour se retrouver là-bas Pour un jour, un instant Se retrouver dans leurs pas

{Au Refrain}

Sempre sempre

Paroles: G. Morra, H. Ségara. Musique: M. Fabrizio 1999 "Au nom d'une femme"

Si la tendresse et la poésie Nous ont laissé leur nostalgie Combien de ces choses avons nous perdu Puisque tu es loin et n'y penses plus?
J'ai si mal sans toi Tant pis si je ne guérissais pas Car mes douleurs sont belles à mourir Chaque fois qu'elles reviennent me dire
Sempre Sempre Tant pis si pour toi c'était plus jamais Tous ces mots que tu voulais jurer Ces paroles qui faisaient espérer et qui m'ont brisée
Sempre Sempre Quelques mots d'amour que tu m'as laissés Si cet amour est tellement vrai C'est un vide auquel je ne m'habitue pas Dans mon âme il y a cet éclat Cette lueur que l'on éteint jamais quand on a trop aimé Quand on a trop aimé
J'écris ton nom quand la nuit bat Quand l'obscurité est là Dans le silence je prie, j'oublie tout de ce monde Et je m'enfuis dans ces douleurs tellement profondes Et tout c'qui nous sépare revient me hanter si fort Comme ces petits rien qui font si mal Me blessent en regret de cristal