Выбрать главу
Les flamants roses ont quitté le ciel Moi je suis qu'une fille sans nouvelles Pourquoi l'automne vient tout nous voler Et nous laisse aux regrets
Et je revois les vallées d'Irlande Où les herbes sont un lit aux jupes qui s'étendent Et la brume dans les vallées d'Irlande Venait bien souvent nous surprendre
C'est vrai que ma peine est tellement grande Mais que faut-il comprendre Si rien ne dure il reste à se dire Qu'il y a les souvenirs
Et je revois les vallées d'Irlande Où les herbes sont un lit aux jupes qui s'étendent Et la brume dans les vallées d'Irlande Venait bien souvent nous surprendre

{x2}

Loin

Si la feuillance des nos serments vient se briser contre le temps J' m'en fous Si j' me balance pour pas tomber entre les lignes de mon passé J' m'en fous Mais quand nos deux corps se déchirent se font la guerre comment te dire

{Refrain:}

Loin, loin, loin Je me sens loin si loin de nous J'ai mal comme un enfant qui comprend tout Loin, loin, loin Je me sens loin si loin j'avoue Déjà je maque de nous
Si j'ai grandi pour les baisers de tous ces hommes que j'ai croisés J' m'en fous Et si j' dérive pour pas sombrer dans l'eau des larmes qu'on a versées J' m'en fous Et si je sais qu'à trop souffrir c'est l'un de nous qui va partir

{au Refrain}

Et si je sais qu'à trop souffrir c'est l'un de nous qui va partir

{au Refrain}

Loin du froid de décembre

Paroles et Musique: Lynn Ahrens, Stephen Flaherty 1997 "Coeur de verre"

note: Thème principal du film "Anastasia".

Des images me reviennent Comme des souvenirs tendres D'une ancienne ritournelle Autrefois en décembre
Je me souviens il me semble Des jeux qu'on inventait ensemble Je retrouve dans un sourire La flamme des souvenirs Doucement un écho Comme une braise sous la cendre Un murmure à mi-mots Que mon cœur veut comprendre
Je me souviens il me semble Des jeux qu'on inventait ensemble Je retrouve dans un sourire La flamme des souvenirs De très loin un écho Comme une braise sous la cendre Un murmure à mi-mots Que mon cœur veut comprendre
Une ancienne ritournelle Loin du froid de décembre

Ma vie tient en deux mots

2003

De toute évidence Il est des absences Qui refusent d'éteindre leurs feux
A chacun sa route La tienne a sans doute Fait de toi un homme heureux
Tu veux savoir où j'en suis depuis tout ce temps Il n'y aurait pas de quoi en faire un roman
Ma vie tient en deux mots seulement Et mon coeur te les dit souvent Ma vie tient en deux mots à peine Je t'aime
Tes regards me disent Que ce qui m'arrive Ne t'arrivera jamais
Tes silences même A eux seuls m'apprennent Que pour nous les jeux sont faits
Moi tu sais j'ai bien peu de chose à t'apprendre Tu souris toujours en photo dans ma chambre
Ma vie tient en deux mots seulement Et mon coeur te les dit souvent Ma vie tient en deux mots à peine Je t'aime
Ma vie tient en deux mots, toujours Jamais je n'en ferai le tour Ma vie tient en deux mots à peine Je t'aime

Méfie-toi de moi

Paroles: Hélène Segara. Musique: Mathias Goudeau – Mathieu Lecat 2006 "Quand l'éternité"

note: Ed. Bambino / Mataya

Méfie-toi des blessures Que l'on ne guérit pas De mes mains qui rassurent Mais ont eu tellement froid Méfie-toi de ma peau Elle se souvient de tout De ce qui est trop beau Et n'appartient qu'aux fous
Méfie-toi du passé De sa mémoire immense De ce qu'on croit caché Quand la vérité danse Méfie-toi de mes peurs Qui reviennent parfois Méfie-toi du bonheur Souvent il n'attend pas
Méfie-toi de moi Car parfois ça m'abime Tant de fois Comme si c'était un cri

{Refrain:}

Et même si je t'aime Plus que tout Méfie-toi de ces chaînes Que l'on se met au cou Et même si je t'aime Plus que moi Méfie-toi de nos peines Et du temps qui s'en va Méfie-toi de moi
Méfie-toi des blessures Que l'on ne guérit pas De mes mains qui rassurent Mais ont eu tellement froid Méfie-toi de ma peau Elle se souvient de tout De ce qui est trop beau Et n'appartient qu'aux fous
Méfie-toi de moi Je me fais tant de mal Tant de fois De chagrins abyssaux

{au Refrain, x2}

Méfie-toi de moi
Méfie-toi des blessures Que l'on ne guérit pas De mes mains qui rassurent Mais ont eu tellement froid
Méfie-toi de ma peau Elle se souvient de tout De ce qui est trop beau Et n'appartient qu'aux fous

{au Refrain}

Méfie-toi de moi Et même si je t'aime Plus que moi Méfie-toi de nos peines Et du temps qui s'en va Méfie-toi de moi…

Mes rêves disaient la vérité

Paroles: M.Jourdan. Musique: N.Kaniel 2001

Sous le soleil des projecteurs, venir avec ma peur, Trembler du cœur au bout des cils, Trembler comme sur un fil, Porter par la musique, oser, oser tout vous avouer, Aux creux de tous mes oreillers C'est vous que j'imaginais.
Mes rêves disaient la vérité, Mes rêves déjà nous rapprochaient, Et me parlaient souvent de nous de moi qui chanterais pour vous, Mes rêves disaient la vérité, au creux de tous mes oreillers, j'en ai tellement rêvé Et cette fois c'est vrai.