{au Refrain}
Le vent de la nuit
Paroles: C. Desage, Charles Bruhn. Musique: G. Buschor 1974
Je t'aime, serre-moi sur ton coeur
J'ai peur du temps qui passe
Au loin, la nuit s'efface
Je t'aime, entends le vent qui pleure
Déjà, il est l'heure de ton départ
Attends! Avant qu'il soit trop tard
Sur la croix que je porte,
Mon coeur que tu emportes,
Tu vas jurer d'être fidèle
L'amour infidèle n'est pas l'amour
{
Quand le vent de la nuit chante sur la mer
Elle est seule et elle rêve à des chimères
Elle écoute, le vent se calme et elle s'endort
En pensant au marin
Il lui semble qu'un bateau rentre droit vers le port,
Qu'il revient le marin
Et lui, seul avec son espoir
A l'autre bout du monde
A compter les secondes
Et lui, au coeur de la nuit sombre
Il croit voir dans l'ombre
Ses grands yeux noirs
{au Refrain}
Le vieux café de la rue d'Amérique
Paroles: Eddy Marnay. Musique: P. Kartner
Titre originaclass="underline" "’T klein cafe aan de haven"
note: sur la même mélodie originale, Joe Dassin a chanté "Le café des trois colombes"
La fête aux néons se termine
Et la ville s'endort
Et les gens restent seuls
Ils rentrent chez eux dans le noir
Comme ils font tous les soirs
Sans savoir ce qu'ils veulent
Mais la vieille ville
Est là comme une île
Avec ses pavés de travers
Et la nuit s'anime
D'un flot de musique
Qui vient d'un bistrot entrouvert.
{
Le vieux café de la rue d'Amérique
En plein milieu d'une ville en acier
Le vieux café a des airs magnifiques
Tout peint de rouge et du vert aux volets.
Le patron ressemble à Brassens
Faut le voir quand il rince
Les verres en chantant
On a l'impression, quand on vient
Bavarder eEn copain
Qu'on est son seul client
Et pour une femme
Ce n'est pas un drame
D'y venir même après minuit
La grosse fleuriste
Ou le garagiste,
Ceux qui sont là sont des amis.
{au Refrain}
Avec son comptoir qui s'écroule
Les bruits que font les boules
Des joueurs de billard
On n'y trouve pas de gadgets
Mais on y fait des dettes
Et tu paieras plus tard.
J'irai sur la lune
Ou bien sur Saturne
Un jour promener mes enfants
J'irai sans tristesse
Pourvu qu'on me laisse
Ce coin où mon coeur est content.
{au Refrain, x2}
Loin de la ville où tu t'endors
Paroles: Joëlle Kopf. Musique: Michel Ansellem
Loin de la ville où tu t'endors à l'heure où rien n'avance
enlacés le temps d'un temps mort ton rire et ton enfance
C'est là que mes rêves te dessinent une île cloutée d'étoiles
avec à la place des usines de longs bateaux à voiles
La nuit tombe
J'aimerais me reposer en paix
mais ton ombre se promène en bateau dans la baie…
Ma boule d'or mon soleil de midi
quand l'hiver n'est pas d'accord
dans le froid de la nuit (Chœurs)
Mon ange blond qui passe quand je m'ennuie de lui
quand j'ai le temps long
ton sourire me poursuit (Chœurs)
Appelle-moi, je suis loin et je t'aime
rappelle-toi, raconte-moi tes fous rires tes problèmes
je suis là…
Photos de toi éparpillées pour t'aimer de mémoire
il me faut rester et veiller
à me lever moins tard
je caresse par écrit tes cheveux évanouis
Il me presse que tu voles de tes yeux ma tendresse
Ma boule d'or, mon soleil de midi
quand l'hiver n'est pas d'accord
tu traverses la nuit (Chœurs)
Mon ange blond qui passe quand je m'ennuie de lui
quand j'ai le temps long
ton sourire me poursuit (Chœurs)
Appelle-moi, je suis loin et je t'aime
rappelle-toi, raconte-moi tes fous rires tes problèmes
Ma boule d'or mon soleil de midi
quand l'hiver n'est pas d'accord
dans le froid de la nuit (Chœurs)
Mon ange blond qui passe quand je m'ennuie de lui
quand j'ai le temps long
ton sourire me poursuit (Chœurs)
Appelle-moi, je suis loin et je t'aime
rappelle-toi, raconte-moi tes fous rires tes problèmes
je suis là…loin de la ville où tu t'endors.
Ma délivrance
Paroles: Eddie Marnay. Musique: S.Tracey 1988
Soleil de nuit, chaleur de l'hiver
Et gardien de mon âme
Il porte en lui le sel de la terre
Mes rêves de femme
Finie la solitude endormie
Où je cachais ma vie
Avant de le trouver
Avant de tout quitter
Pour lui
Il est mon heure de vivre ma délivrance
Mon temps qui passe
Sans jamais voir passer le temps
Il est la fin de chaque souffrance
Mon cœur qui casse
Sans jamais se casser vraiment
Il est la porte qui s'ouvre
La chance, ma délivrance
Moi qui savais m'endormir sans lui
Je ne sais plus le faire
J'ai décidé maintenant
Je suis tout ce qu'il préfère
J'étais libre d'aller devant moi
Libre d'aimer cent fois
Mais des murs m'enfermaient
Et j'étais enchaînée à moi
J'attendais sans y croire
Ma délivrance
Quand on vit seule
je me dis qu'on est emprisonné
C'est comme une croix sans croyance
Quand on est seule, toute seule, avec sa liberté
Oui j'attendais sans croire à la chance
Ma délivrance
Il est mon heure de vivre ma délivrance
Mon temps qui passe
Sans jamais voir passer le temps
Il est la fin de chaque souffrance
Mon cœur qui casse
Sans jamais se casser vraiment
Il est mon heure de vivre, ma délivrance
Mon temps qui passe
Sans jamais voir passer le temps
Il est la fin de chaque souffrance
Mon temps qui passe
Sans jamais voir passer le temps
De ma délivrance
Mon temps qui passe
Sans jamais voir passer le temps
Il est la fin de chaque souffrance…