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Comment l'oublier! Quelle que soit ma peine Je ne peux pas m'en détacher Bonne nuit et merci quand même Merci d'avoir pensé à moi

{au Refrain}

Seuls de vrais amis comme vous me comprennent Partez sans moi, je vous en prie Laissez moi et merci quand même Merci d'avoir pensé à moi

{ad lib:}

Laissez moi et merci quand même Merci d'avoir pensé à moi

Il est né le divin enfant

{Refrain:}

Il est né le divin enfant, Jouez hautbois, résonnez musettes! Il est né le divin enfant, Chantons tous son avènement!
Depuis plus de quatre mille ans, Nous le promettaient les prophètes Depuis plus de quatre mille ans, Nous attendions cet heureux temps.

{au Refrain}

Ah! Qu'il est beau, qu'il est charmant! Ah! que ses grâces sont parfaites! Ah! Qu'il est beau, qu'il est charmant! Qu'il est doux ce divin enfant!

{au Refrain}

Une étable est son logement Un peu de paille est sa couchette, Une étable est son logement Pour un dieu quel abaissement!

{au Refrain}

Partez, grands rois de l'Orient! Venez vous unir à nos fêtes Partez, grands rois de l'Orient! Venez adorer cet enfant!

{au Refrain}

Il veut nos cœurs, il les attend: Il est là pour faire leur conquête Il veut nos cœurs, il les attend: Donnons-les lui donc promptement!

{au Refrain}

O Jésus! O Roi tout-puissant Tout petit enfant que vous êtes, O Jésus! O Roi tout-puissant, Régnez sur nous entièrement!

{au Refrain}

Il me faut vivre

Paroles: R. Bernet. Musique: Ch. Bruhn

Pardon ma Mère, je dois partir Car cet homme je l'aime Vivre sans lui serait plus que mourir Puisqu'à lui tout m'enchaîne
L'Amour m'appelle L'amour m'attend Et pour survivre Je dois le suivre Ne pleure pas, ne pleure pas, comprends-moi Il me faut vivre
Vois-tu ta fille, n'est plus une enfant Malgré nous sans rien faire On quitte un peu sa maison ses parents À chaque anniversaire
Ne pleure pas ne pleure pas comprends-moi Il me faut vivre
Ce soir quand mon père dira Où donc est-elle Il est tard je m'inquiète Dis-lui ma Mère la vérité Tant pis, si je regrette
L'amour m'appelle L'amour m'attend Et pour survivre Je dois le suivre Ne pleure pas ne pleure pas comprends-moi Il me faut vivre
L'amour m'appelle L'amour m'attend Et pour survivre Je dois le suivre Ne pleure pas ne pleure pas comprends-moi Il me faut vivre

Il va faire beau sur notre vie

Paroles: Michel Jourdan. Musique: Noam Kaniel

Ce soir mon cœur, je chante et toi, tu pleures… Il n'est plus là celui pour qui tu bats Mon cœur, essaie de te faire plus léger Dis, s'il te plaît, t'es si lourd à porter! En toi il pleut jusqu'au bord de mes yeux Plus tu soupires, moins j'arrive à sourire… Fais comme moi, je chante, je m'invente d'autres beaux jours pour toujours…
Il va faire beau sur notre vie Pas ce soir mais bientôt mon cœur, c'est promis! Il va faire beau à la fin du tunnel Tu veux pas qu'on essaye de chanter la vie sans lui?
Toi, tu t'accroches à lui de toutes tes forces Il s'en fout bien que tu aies du chagrin Ce garçon-là en qui toujours tu crois je te parie qu'il a refait sa vie…
De mon côté j'essaie de l'oublier Toi, nuit et jour, tu l'appelles au secours Fais comme moi, je chante je m'invente un autre amour pour toujours…
Il va faire beau sur notre vie Pas ce soir mais bientôt mon cœur, c'est promis! Il va faire beau à la fin du tunnel Tu veux pas qu'on essaye de chanter la vie sans lui… De chanter la vie… sans lui?

J'ai gardé l'accent

Paroles: G. Bonheur, J. Bernard 1967

Oui, j'ai gardé l'accent qu'on attrape en naissant du côté de Marseille C'est l'ail du potager, l'huile de l'olivier, le raisin de la treille C'est le micocoulier où jouent les écoliers, Qu'une cigale égaye.
Quand la mer de Pagnol en retenant ses vagues S'endort en rêvassant Et rêve d'un marin qui lui passe la bague La mer à notre accent!
Quand le vent de Mistral décoiffe les marchandes Jouant au Tout Puissant Et qu'il nous fait le ciel plus bleu que la lavande Le vent à notre accent!
Oui, j'ai gardé l'accent qu'on attrape en naissant du côté de Marseille C'est le mas paternel, aux murs couleur de miel, aux tomates vermeilles C'est la tuile du toit, comme un peu de patois que le soir ensoleille
Quand la nuit de Daudet aux moulins met des voiles Qui tournent en crissant Et que ça grouille au ciel des millions d'étoiles, La mer à notre accent!
Quand l'été de Giono revient en transhumance Et que les estivants, imitent en riant Le parler de Provence, Le monde à notre accent!
Oui, j'ai gardé l'accent qu'on attrape en naissant du côté de Marseille, C'est l'accent du clocher, la Noël des bergers dans la nuit des merveilles. C'est l'orgueil provençal, la gloire de Mistral,
C'est l'accent de… Mireille!

Je ne sais rien de toi

Il y a beau jour qu'un jour tu es parti Parti pourquoi, tu vois je sais plus Plus le temps passe et plus ma vie s'ennuie Nuits dans amours où je vais éperdue Perdue sans toi chercher un peu d'oubli