Non daté.
La coquille
(fragment)
Coeurs gonflés de regrets ! Ô vieux coeurs misérables
Que soulevait jadis la houle des désirs,
Comme les flots roulant des coquilles aux sables
Vous entendez ainsi pleurer vos souvenirs !
Ce n’est plus la chanson triomphante des rêves
Mais une douce et faible et plaintive rumeur,
Toujours près de s’éteindre et qui jamais ne meurt,
Comme ce bruit confus des vagues sur les grèves !
FIN