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En jalousie, il n’existe pas de femme bien élevée.

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Le temps est plus difficile à tromper que les femmes.

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Elle est assez élégante. Un sac en perles. Un cache-nez de deux mètres sur le dos et un trottoir de quinze mètres en bas de l’hôtel.

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Sans en faire ses beaux dimanches, on peut tout au moins en faire ses vilains mardis.

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La femme que tu veux, veut en réalité que tu l’aies.

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Cette souris est émotive comme une langouste qu’on plonge dans l’eau bouillante.

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Elle avait tout ce qu’il faut pour faire oublier le système fiscal à l’humanité souffrante.

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Les gonzesses nous accaparent trop. Comme troupes d’occupation, on ne fait pas mieux.

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Elle est dodue comme une grasse matinée corse.

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Il faut être déplafonné pour vouloir s’annexer une souris. C’est en étant exclusif qu’on s’attire des ennuis.

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Quand elle se démaquille, il lui faut un ciseau à froid tellement qu’elle se crépit le moule à gaufre.

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C’est une dame qui n’a pas besoin de se mettre des bigoudis pour friser la soixantaine.

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Pour l’homme, le mensonge est un outil; pour la femme, une parure.

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La plus belle conquête de l’homme, c’est la femme… La femme avec un Q majuscule et des talons Louis XV pour piétiner votre cœur…

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Elle va chercher la quarantaine et la trouve aisément.

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La vérité, c’est comme une femme; pour qu’elle soit utile, il faut qu’elle soit entière.

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Elle n’a pas de poitrine, ou alors elle l’a oubliée sur sa table de nuit.

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La soubrette est bien en chair, avec l’air de vous servir ses nichons sur un lit de cresson en même temps que le contre-filet de bœuf.

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Les pépées passent l’éponge. Personne du reste ne sait mieux la passer qu’elles!

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Ce qui m’intéresse, c’est les jolies nanas avec leurs petits maillots de bain à moustaches.

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Une sensuelle, sa peau lui sert d’esprit.

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Ça porte à l’âme, et même au zob, l’autre étant le corollaire de l’une quoi qu’en pensent les poètes malbandeurs.

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Elle parle de ce ton d’épouse acerbe qui fait tant pour la noble cause du divorce.

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C’est inouï ce que les femmes ont la science du futile.

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Elle promène ses flotteurs dans un décolleté tellement vertigineux qu’on voit les poils de son pubis.

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Le créateur lui a filé une de ces armoires à deux portes qui ferait grimper les enchères à la salle Drouot. En attendant elle fait grimper le client!

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— Qu’est-ce que tu fais, ma jolie?

— Je suppute.

— Il n’y a pas de sot métier.

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Avec certaines femmes, ce qu’on ne voit pas, on l’imagine, et on sent que ce qu’on imagine est au-dessous de la réalité (et de la ceinture).

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Il y a des dames mariées polissonnes qui doublent leur gagneur pour se donner des raisons de le supporter.

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Je me mets à en bâiller plus grand que son frifri.

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Il y a de bioutifoules nanas, faites pour sortir et pour rentrer, et encore plus pour sortir que pour rentrer.

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Son papa devait penser à Rodin lorsqu’il a fait à sa maman le coup du ravitaillement en plein septième ciel.

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C’est pas une Suédoise, c’est une allumeuse.

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L’homme ne demande à la femme d’être intelligente que lorsqu’elle ne l’est pas. Quand elle l’est, il en prend une autre.

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En général, les filles qui sont gelées des extrémités sont bouillantes du centre.

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Y a pas de place pour les timides dans le cœur des femmes et encore moins dans leur dodo.

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Elle est pas de la première jeunesse mais loin de la dernière.

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Mademoiselle s’installe dans la vie avec ses petites envies rentrées toutes prêtes à sortir.

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Pour les femmes, l’absolu, c’est la jouissance de l’instant.

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Quelles rondeurs dans son corsage! Avoir un pareil capital devant soi, voilà qui vous rendrait militant d’extrême gauche!

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Cette frangine a un sein qui lave la vaisselle et l’autre qui nettoie le plancher.

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Une fois que les Ricains se feront des Chinoises, les Chinois des Monégasques femelles et les Monégasques mâles des Bulgares, et qu’on aura bien réparti les parties, y aura plus de partis!

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Les mensonges, c’est pas fait pour être crus, c’est fait pour éviter la vérité.

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Confuse comme une rosière entrée par erreur dans une pissotière.

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Elle a le teint pâle, des taches de rousseur et ce regard fascinant, inquiet et surpris des myopes. C’est du tendron pour grand-livre de comptabilité. On met le passif d’un côté, l’actif d’un autre et la main au milieu.

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Lorsqu’une dame fait un ravalement avant de rejoindre un monsieur, c’est que ledit monsieur ne la laisse pas indifférente.

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La femme à qui tu proposes la botte, quand elle ne te gifle pas, c’est qu’elle accepte.

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C’est une fille à qui la vie ne refuse rien et les hommes non plus.

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Cette gerce accuse son pedigree, ses années de nourrice ont compté double.

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Elle a une poitrine qui semble sur le point de vous faire l’aumône.

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Cette nana a dû créer des embouteillages et des bousculades au temps où elle osait dire son âge.

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Avoir les yeux verts, c’est bien pratique lorsqu’on veut passer pour un albinos auprès d’un daltonien.

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Elle a des hanches violoncelleuses dont l’étendue est de beaucoup plus de quatre octaves.

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Ces dames papotent au subjonctif dans un français auprès duquel celui de Montaigne ressemble à du verlan.

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Elle est tellement ridée que si on repassait sa figure, elle triplerait de surface.

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Elle est moulée dans une robe blanche, en soie surnaturelle tissée à la langue. Elle n’a qu’un bijou; mais quel bijou! La parure des Fouinozoff! Le célèbre «Balochard», le seul diamant au monde en bois véritable!

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La nana est sublime, mes chers camarades de con bas. Et quand je dis sublime, j’arrive à peine aux genoux de la vérité! Je ne lui aperçois même pas le pubis.

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Elle glousse comme une jeune fille pubère à laquelle un militaire montre la principale raison de sa présence sous les drapeaux.

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Ah! les épouses nouvelle formule. Maintenant, les messieurs hésitent à douiller des extras vu que leurs légitimes se comportent comme des maîtresses. Elles dépensent autant d’artiche qu’une poule de luxe. Autrefois, la bergère était chargée de faire des mouflets et des économies. Ça permettait de réserver une partie du budget pour les demoiselles de bonne compagnie. De nos jours, les épouses sont devenues des croqueuses de diams. Et pour ce qui est du vice, passez-moi le Kãma-Su˜tra! Elles en remontreraient à Casanova. Le rêve désormais, c’est de prendre des maîtresses uniquement pour les regarder tricoter.