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Une gerce comac, un cul-de-jatte ferait Paris — Cap Nord sur des échasses rien que pour lécher le coussin de la chaise sur laquelle elle s’est assise.

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En langage féminin, «je ne sais pas», ça veut dire à peu près: «où est-ce qu’on se met!»

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La banque, c’est à peu près le seul endroit — avec les gogues — où une femme consent à vous laisser aller seul.

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Chez les grenouilles, c’est comme chez les gonzesses: il y a que les cuisses de bonnes.

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Elle a des mamelons à côté desquels ceux de Cavaillon ressemblent à des filets de sole.

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Elle est tellement maigre que, quand elle marche, on a l’impression qu’elle tricote sa jupe!

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Les bergères ont toujours besoin de faire un peu de cinéma. Elles s’imaginent que c’est indispensable pour la bonne marche des relations.

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Elle a des yeux de grand inquisiteur qui se promènent dans ton âme comme sur un boulevard.

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La plupart des bergères veulent toujours en savoir plus que vous n’en savez sur vous-même.

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Les femmes ne regardent généralement dans leur rétroviseur que pour recharger leurs lèvres de rouge.

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Elle a un regard à s’être laissé faire douze gosses à la file par des messieurs qu’elle n’a jamais revus.

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Certaines croient que le maquillage les répare mais un coup de peinture n’a jamais sauvé un mur qui s’écroule.

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Les femmes n’ont pas que le cœur de grand ni que la conscience qui soit élastique.

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J’ai toujours proclamé qu’il existait deux catégories de femmes: celles qu’on a envie d’accrocher à son palmarès, et puis les autres.

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La jolie dame a croisé ses longues jambes en remontant sa robe. Je me demande si c’est se montrer poli vis-à-vis d’une gonzesse que de ne pas mater sa chatte lorsqu’elle te la dévoile aussi généreusement!

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Une femme (même espagnole) est une femme. La trouille de la damnation la retient de pécher, pas de frémir.

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Les putes couchent avec tout le monde, les salopes couchent avec tout le monde sauf avec toi, les emmerdeuses ne couchent qu’avec toi.

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Ce qu’il y a de consolant avec les gonzesses, c’est qu’elles offrent certains repères grâce auxquels on parvient à s’orienter dans la nuit de leur mystère.

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Deux hommes se sentent confusément unis par la même femme, alors que deux femmes sont irrémédiablement divisées par le même homme.

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Un mari craint toujours que son épouse le quitte. C’est ça la suprême force des femmes. Vous faire redouter ce que vous souhaitez le plus au monde.

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Elle avoisine les trente-huit carats, si délicatement que personne ne s’en aperçoit, même pas elle.

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Les femmes savent que le mâle est fier de protéger et ne perdent jamais une occasion de lui accorder cette sotte satisfaction.

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Je reluque des vieilles dames seules qui confient leur cellulite au soleil. Des grosses mochetés, gonflées et rondouillardes comme le bonhomme Michelin. Avec des bourrelets aux cuisses, au bide, au fignedé. Des nichons pareils à des sacs de farine, des bajoues. Le tout couvert de peinture, d’or, de soie, de prétention, couvert d’imbécillité. Des sourires lippus, des regards visqueux comme des beignets mal cuits! Ah! Les belles dames rupinos! Bien faisandées, varicées, engraissées, mais dignes! Dignes avec du rouge aux lèvres et aux joues, du noir et du vert et du bleu et du violet aux châsses! Et jaune aussi. Jaune verdâtre, comme toutes les barbaques gâtées! Car elles sont gâtées, ces dames. Par la chance… d’accord! Mais gâtées aussi par l’âge! Gâtées par leur mari, et gâtées par tous les pores de la peau. Gâtées du haut en bas, de bas en haut, de gauche à droite… Gâtées au dedans et au-dehors… Et elles attendent des miracles du soleil. En v’là un qu’est pas dégoûté: promener ses beaux rayons sur de la viande avariée! Il n’a pas de dignité, ou alors il protège les mouches bleues! Il leur veut du bien! C’est pas possible autrement!

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Moi, misogyne? Jamais! Esclave, au contraire, benêt, toutou, lécheur, passeur de serpillière, dépensier, soumis, acceptateur d’inacceptable, implorant, moi que voilà, bandant sans cesse.

San-Antonio
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Je ne comprends pas les femmes de vouloir être les égales de l’homme alors qu’elles lui sont tellement supérieures! C’est de la modestie, dans le fond!

San-Antonio

Réflexions pointées sur le sexe

MORCEAUX CHOISIS recueillis par Philippe TAURISSON

Le sexe est le meilleur ami de l’homme.

Et en même temps son pire ennemi.

Les femmes ne m’ont jamais mené par le bout du nez, mais toujours par le bout du nœud.

Si Dieu ne m’avait pas accordé de pénis, je serais sans doute à l’Académie Française puisque je n’aurais rien eu à foutre de mieux.

San-Antonio
Mes couilles
J’ai trop traîné mes couilles en des couches honteuses Mes couilles j’ai traînées en des lits frelatés Mes couilles ont arpenté des chattes ténébreuses Où ma langue déjà les avaient précédées. Mes couilles sont parties pour de lointains voyages Vers de noirs marécages aux rivages frisés Elles sont parties mes couilles chez des dames sauvages Qui me les caressaient pour mieux me les vider. Mes couilles ont visité des donzelles novices Qui pratiquaient le vice avec autorité Elles y ont débusqué d’affables chaudes-pisses Qui riaient d’Hippocrate et des sulfamidés. Elles ont connu mes couilles de très graves alarmes Parmi des gens bizarres qui me les ont brisées Et si mon Dieu le foutre ressemblait à des larmes Grands seraient les chagrins dont elles auraient pleuré.
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L’érection est un phénomène spontané qui correspond à des normes mal établies. Si j’ai un conseil à donner aux heureux bénéficiaires de cette fougue sensorielle, c’est de ne se poser aucune question et de profiter de l’aubaine.

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Les rhumes de chatte sont plus sévères que les rhumes de cerveau.

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Si ton ennemi te sodomise, surtout ne bouge pas: tu risquerais de le faire jouir.

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Le sexe est une chose bien trop grave pour qu’on puisse en rire.

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Bander est une insurrection.

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S’envoyer en l’air est un hymne à la nature, un Te Deum à la vie! Jouir est un don du Ciel. Chaque être qui prend son pied se rapproche de son Créateur. Il Lui OBEIT!

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Je lui joue mon grand air de Chope ça, avant de partir; paroles de Tumlapran, musique de Tumlaskou, orchestration de Tumlastique.

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Dieu, que le cri du morpion est triste au fond des poils!