Cette fille t’assèche les muqueuses comme un os de gazelle dans le désert!
J’aime les belles luronnes fortes en cuisses, au pelage luxuriant et aux nichons surdimensionnés. Avec ces chéries, tu as l’impression de baiser sur écran panoramique!
Il tire une crampe extraconjugale, comme le boa en captivité gobe son rat avant de se rendormir pour huit jours!
Une gonzesse en rut. Folie! Que d’énergie perdue! Tu lui branches une dynamo aux miches et tu éclaires la Promenade des Anglais pendant trois ans!
Mes nuits sont aussi raides que mes jours.
Elle a trouvé la posture qui te fouette sang et sens; (j’ai pas dit «sans essence»).
Elle a la cressonnière en délire, avec, en son milieu, la vallée des délices aux méandres roses.
Grimper des jumelles, c’est fascinant, t’as l’impression de faire l’amour avec du papier carbone.
Elles ont dans le regard les sanglots longs du violon de leur chatte!
Une fille chichiteuse, avec vingt-huit centimètres de braque bien placé, ça s’arrange.
Le murmure d’une source n’est rien comparé à un bruit de médius investissant frénétiquement une chatte conditionnée par la projection d’un film porno.
J’aime les pelages clairs, ils laissent découvrir la moule bien mieux que les foisonnantes toisons méditerranéennes.
Quand on se galoche, c’est la valse des patineurs qui nous arabesquent le centre des télécommunications.
Il n’y a pas de meilleure affure qu’une gerce en manque de baise.
La manière qu’é t’regarde, ça s’voit gros comme un n’hangar de boeings qu’t’y as ramoné les tuliaux d’orgues!
Je plains les hommes qui mettent davantage de temps à se raser qu’à baiser leurs femmes. Et je plains plus encore leurs dames.
Les bites et les soufflés, si on les laisse quimper, on finit par les retrouver à fond de cale.
Quand mes bourses sont vides, elles ne me font aucune aumône.
Un rapide du braque: tout ce qui bronche avec du poil autour, il se porte volontaire, que ça bêle ou que ça parle!
C’est un cultivateur qui emmène sa femme aux champs pour la bourrer.
Mister Popaul dodeline au-dessus de sa paire de roustons. Il a la démarche un peu harassée de Frankenstein se levant de la table d’opération où il vient d’être fabriqué!
Mes testicules fomentent des préparatifs machiavéliques.
Les grandes baiseuses, les vraies, les solides, les redoutables, une fois la séance achevée, on a l’impression qu’elles se dédoublent. Tu n’es plus le julot qui vient de leur court-circuiter les glandes, mais un vague personnage, sans rapport sexuel avec le panard qu’elles ont pris.
Le pif de cette nana me rebute. Si je l’emplâtrais, j’aurais la désagréable impression de me faire Louis XVI. J’ai rien contre Louis XVI qui fut un excellent serrurier, mais de là à l’embroquer, y a un monde!
Parfois elles sont putes! Tant mieux, on perd moins de temps.
Elle jappait en se laissant prendre, ce qui me donna l’impression étrange de sodomiser un caniche royal.
Chez nous, on lâche une ou deux fois dans notre existence la giclette porteuse. Le reste, c’est juste des brouillons.
Deux mains, une bouche, un zob! Quatre raisons d’aimer la nique!
Les hommes âgés ont plus grands yeux que gros sexe. Avec eux, l’amour commence et finit par des baisers.
Le sujet tout-venant à tirer un soir d’hôtel quand t’es à court, te laisse l’impression fadasse d’un repas à prix fixe.
L’homme n’est pas pour la sophistication en matière de sexualité; il aime les frangines au regard couleur «tout de suite».
Elle lui taille une petite pipe sans histoire, du genre pique-nique.
Sa philosophie, c’est le donnant-donnant. Passe-moi la rhubarbe, je te prêterai mon cul!
Jadis, t’étais obligé d’écarter la culotte pour trouver les fesses, à présent, tu dois écarter les fesses pour trouver la culotte.
Je préfère collectionner des poils de culs que des timbres-poste.
Pour brouter une Ibérique, faut la faucher auparavant, sinon on est condamné à l’étouffement.
Y a des frangines que les préliminaires, ça les chatouille et tu ne peux pas faire reluire une frangine qui se marre.
Avec certaines greluses, faut tirer ses deux coups dans la foulée tellement t’as pas le temps de voir partir le premier.
Chacun baise ce qu’il mérite.
Merci Seigneur, de manifester Votre auguste bienveillance jusque dans l’entrejambe des merveilleuses créatures que Vous avez conçues pour notre félicité terrestre.
Je me ferais coiffeur pour pouvoir peigner sa toison d’or avec mes dents.
Pendant la première partie de mon existence, je rêvais d’étreindre les femmes sans préambule, au gré de mes convoitises. Je l’ai fait. Résultat: une gifle sur cent tentatives; correct, non?
J’ai le mandrin qui exécute un triple nelson dans mon caleçon à manches courtes.
Je suis à bord de ma bite. La ceinture sanglée. Les réacteurs enclenchés!
Elle a une chatte comme tu les aimes et des poils que tu voudrais te retirer de la bouche un à un!
Sa manœuvre fut exemplaire, et mon costume n’eut pas à déplorer les gambades de ces jeunes spermatozoïdes folâtres qui se croient tout permis, sitôt qu’on leur laisse la bride sur le cou.
Lorsqu’il lui arrive de baiser, il note la date sur son agenda pour se la rappeler au cours des années suivantes.
Un gros chat vient se frotter à moi en ronronnant. Les coïts de ses maîtres le laissent indifférent, ce pour deux raisons aussi valables l’une que l’autre: primo, parce qu’il est chat, secundo parce qu’il est castré. Chacun sa merde!
La jeunesse de cette jouvencelle me fait grincer des couilles.
Par la large ouverture du créneau à zizi, on aperçoit une sorte de petit mégot de bite recroquevillé dans un reliquat de prépuce.
La gentille déflaque en hurlant un prénom masculin, celui d’un certain Hervé qui n’est pas là, mais ça tombe bien car on n’a pas besoin de lui!
Une odeur sensuelle défroisse la peau des roustons instantanément.
Mineure, elle! Tu oublies les années d’apprentissage.
Il fait noir comme dans le trou du cul d’un nègre, endroit que j’ai très peu visité jusqu’à ce jour, mais qui jouit d’une forte réputation d’obscurité.