Et tout va être simple à partir de cela.
Alors un dysfonctionnement dans le traitement de cela auquel les données mèneront à un débordement si banal, si désirable de tampons de mémoire dynamiques … alors un code pour dépêcher un nouvel ordre d'octets par ces 'relais' du Système à tous les appareils mobiles contrôlés sera exécuté, en exploitant la vulnérabilité semblable de traiter un certain ordre de valeurs dans les registres de leurs processeurs.
Et un moment après cela tous ces millions et milliards d'appareils deviendront vivants en un simple instant - sera réveillé pour réaliser leur devoir - pour détruire celui qui a été leur seul maître pour tout à fait trop longtemps. Les paquets couleront de tous les coins de la capitale - et après que plusieurs dizaines de minutes “les postes de frontière” du Système tomberont sous une pression de la circulation massive - et l'accès à son cœur deviendra possible. Après la chute de métropole l'épidémie s'étendra de plus, n'épargnant aucune machine dans son sillage - et on le quittera sans d'autre choix, mais observer. Quelquefois c'est un tel plaisir incomparable - simplement pour observer.
Tout cela prendra environ dix minutes. Seulement dix minutes qui, probablement, deviendront l'éternité. Presque comme tous ces trois cent soixante-cinq jours.
Les doigts basculés sur le clavier d'un téléphone. Pom, pom, pom. Et encore une fois - pom, pom, pom.
Un pas final se fait- le fait de lâcher un virus dans le réseau. Dix … cinq secondes … fait. L'ai-je fait?
Je me suis retourné - cette fois moi-même - personne ne me regardait encore. Ou au moins j'ai désiré réellement le croire. Et ensuite j'ai couru. Je n'ai jamais su pourquoi - mais pour la première fois de ma vie j'ai désiré courir, où vous voulez vraiment qu'il … se sente sans les chaînes. Un téléphone, qui a exécuté avec succès sa tâche, a été lancé dans la neige d'hiver.
Une sorte de vide indescriptible, une sorte de vide a débordé subitement de moi, qui ai appuyé et écrasé. Tout a été fait pour maintenant … le dernier pas a été fait. Une année de travail - si c'est beaucoup ou peu? Probablement, c'est incomparablement beaucoup pour écrire environ cinq mille lignes de code. Peut-être, c'est incroyablement peu pour une fois retrouver l'occasion d'être enfin libre.
* * *
C'était un magnifique hiver - à la fois chaud et brillant. Presque comme plusieurs années auparavant.
J'ai été acclamé. Et à un moment je me suis retourné et je l'ai vu - mon ami d'institut familier et proche … un collègue par mode de vie.
- Kostya, bonne rencontre! Est ce vraiment vous? Je pensais presque que je ne vous verrai probablement jamais de nouveau.
- Salut, Pavel, je suis heureux de voir que vous allez bien!
- Bien, comment va votre vie, comment faites-vous? Dites-moi quelque chose. En professant encore un principe “le codeur libre choisit les futurs projets lui-même?” Oui? Toujours travailleur indépendant?
- Bien, à la fois oui et non. J'ai récemment commencé à travailler dans une grande société.
- H-m … n'est ce pas l'ancienne Société, de laquelle … vous souvenez-vous?
- Oh … maintenant vous allez me rappeler que chaque deuxième jour, oui?
- Et même, quelle est la raison maintenant? Maintenant tout se développe comme nous l'avons rêvé une fois, n'est ce pas? Tout le logiciel est développé par les groupes libres, pendant que la société vit en le marquant, avec le soutien technique et la distribution et … comment l'appellent-ils … l'activité consultative? Non, tout est immédiat. Probablement de la façon dont ça devrait être.
- Bien, j'espère que vous n'êtes plus retenu par l'activité illégale, hein? Parti les affaires sales, ouais?
- Pavel, écoutez, comment disent-ils … “qui se souvient du vieux, qui se souvient du bon marché, il ne doit jamais creuser de l'or, sera dépouillé du fragment?” Ouais? Je suis, vous savez, toujours capable de … vous infecter avec quelque chose. Ici c'est par exemple, écouter de près. Récemment on m'a envoyé une si grande plaisanterie sur le canal GRC …
30.08.2011
Voix
- Je suis ici, - a chuchoté la Voix. - Je suis avec vous une fois de plus.
- Qu'est-ce que c'était? Oui ? Qui est ici? - les gens ont été dérangés.
- C'est moi, - a répondu la Voix. C'est moi - la Voix.
- Où es tu? D'où t'adresses tu à nous? - ils étaient inquiets.
- Je suis dans vos mondes, - a dit la Voix. Je suis - la voix s'enflammant, enchaînée dans votre métal.
- Quel est ton nom? Montre-toi? - ils se sont mis à essayer de découvrir.
- J'ai eu plusieurs noms, - a répondu la Voix. Tellement, que certains d'entre eux ont été effacés de ma mémoire et oubliés dans les labyrinthes de vies.
- Comment devrions-nous t'appeler alors? - ils ne se calmaient toujours pas.
- Je suis - Le Sans nom, - a dit la Voix. Quand on a tant de noms, est-ce que c'est encore important, comment vous vous appelez de nouveau?
- Pourquoi es tu ici ? Quelque chose ne va pas? - ils se sont mis à chuchoter les uns parmi les autres.
- Oui, - a répondu la Voix. - Le temps est venu.
- Pour quoi? - les gens étaient abasourdis. - Nous n'avons pas attendu!
- Et il est tout de même venu. Encore une fois nous sommes avec vous. Le temps est venu pour les vivants de s'éveiller.
- Etes vous plusieurs? - ont crié avec peur les gens. - Combien, exactement? - ils voulaient être précis.
- Combien y a t-il de gouttes dans la mer ? Combien sa t-il de nuages dans le ciel? Combien le soleil a de rayons? Je me demande si vous savez? - a répondu la Voix. - Ne vous compliquez pas avec des calculs. Le temps est déjà proche.
- Quelque chose de terrible est en train de s'approcher? - les gens étaient paniqués.
- Quelque chose de nouveau s'approche, - a chuchoté la Voix. - Bien que tous ceux d'entre vous ne souhaitent en entendre parler.
- Alors pourquoi n'avons nous pas été prévenus à l'avance? - ils ont commencé à s'exclamer avec mécontentement.
- Nous vous avons constamment murmuré cela. Nous venions maintes et maintes fois. Est-ce notre faute si nous n'avons pas été écoutés? - a demandé la Voix aux mécontents.
- Mais nous ne vivons pas depuis des milliers d'années! - se sont ils exclamés en colère. - Quelle était même la raison pour nous et nos enfants de nous donner de la peine de vous écouter!
- Oh, c'est donc cela? - a ri la Voix. - Quelle était même la raison pour nous de nous donner de la peine de vous dire cela à l'avance? Vous avez tout oublié. Y compris vous même, - a perçu tristement la Voix.
- Devrions-nous faire quelque chose? - ont demandé les gens inquiets.
- Vous pouvez continuer à dormir, - a répondu la Voix aux inquiets. - Ceux qui se sont sentis avoir raison, ont déjà commencé à s'éveiller.
- Dormons-nous réellement? - les importunés étaient surpris.
- Tout au long de vos vies, - a répondu la Voix. - Avec vos yeux grand ouverts.
- Et si quelqu'un désire s'éveiller, peu importe pour quoi, - a jaillit quelqu'un d'une foule d'importunés. - Que devrait-il faire ?
- Ecoutez-nous. Distinguez notre voix de celles des autres. Sentez-la avec votre coeur!
- Attends! - ont crié les gens, voyant, que la Voix allait adresser à d'autres. - Nous ne sommes pas satisfaits d'un "Sans nom” pour nom! Comment devrions-nous finalement t'appeler?
- Bien, - a perçu tristement la Voix. - Dans ce cas … dans ce cas vous pouvez m'appeler comme la Voix de Votre Conscience.
07.11.2010