Sans l’aide de Frontinus, je suppose que même mon départ aurait été difficile. Mais il m’avait fourni un sauf-conduit pour sortir de la capitale ainsi qu’un char avec cocher ; et au matin du deuxième jour de la Seconde République, je me retrouvai une fois de plus sur la Via Appia en direction du sud. Devant moi m’attendaient la Via Roma et Neapolis, avant que je ne prenne un bateau et rentre chez moi.
Je me suis retourné une dernière fois. Derrière moi le ciel était couvert de nuages noirs tandis que les feux du mont Palatin se consumaient.